L'Espagne pourrait ainsi réclamer de Seat, filiale de Volkswagen, le remboursement des aides perçues pour la production des voitures équipées des fameux moteurs truqués. José Manuel Soria, le ministre espagnol de l'Industrie, a déclaré que dans la mesure où ces véhicules ont été vendus en partie avec l'appui des aides gouvernementales, les autorités allaient demander à l'entreprise leur remboursement.
À l'heure actuelle, le gouvernement espagnol attend que Seat dévoile le nombre de véhicules truqués avec le logiciel permettant de tromper les tests anti-pollution. D'après les médias locaux, il semble que le constructeur a fabriqué plus de 500 000 moteurs trafiqués depuis 2009.
Et Seat n'est pas au bout de ses peines, puisque le gouvernement espagnol se réserve le droit de mettre en place d'autres mesures « compte-tenu de l'augmentation des émissions polluantes dues au logiciel ». Pour le moment, Seat n'a pas donné de chiffres précis, mais l'entreprise a vendu 2 millions de voitures essence et diesel au cours des six dernières années.
À l'heure actuelle, le gouvernement espagnol attend que Seat dévoile le nombre de véhicules truqués avec le logiciel permettant de tromper les tests anti-pollution. D'après les médias locaux, il semble que le constructeur a fabriqué plus de 500 000 moteurs trafiqués depuis 2009.
Et Seat n'est pas au bout de ses peines, puisque le gouvernement espagnol se réserve le droit de mettre en place d'autres mesures « compte-tenu de l'augmentation des émissions polluantes dues au logiciel ». Pour le moment, Seat n'a pas donné de chiffres précis, mais l'entreprise a vendu 2 millions de voitures essence et diesel au cours des six dernières années.