Pôle Emploi et le ministère du Travail ont livré les chiffres du mois d’avril pour le chômage, et ils sont très satisfaisants. Un soulagement après le mois de mars catastrophique sur ce plan… Le mois dernier donc, le nombre de chômeurs de catégorie A (n’ayant pas du tout travaillé) a reculé de 36 300. Avec les outre-mer, la France compte 3,727 millions de chômeurs, soit une baisse de 1% par rapport au mois de mars.
Toutes les classes d’âge sont en recul : les moins de 25 ans (-1,2%), les 25-49 ans (-1,9%) et les 50 ans et plus (-1,1%). Ces résultats sont en ligne avec ceux de l’Insee qui se base sur le mode de calcul du Bureau international du travail : l’institut donnait un taux de chômage de 9,3% au premier trimestre, en baisse de 0,4 point par rapport au dernier trimestre 2016. En revanche, les chiffres sont moins bons pour les chômeurs des catégories B et C (ayant un peu travaillé durant le mois), en hausse de 3%.
Muriel Pénicaud, la nouvelle ministre du Travail, a par ailleurs précisé qu’elle s’abstiendrait de commenter les chiffres mensuels du chômage : elle estime qu’ils reflètent mal la réalité car ils peuvent être touchés par des événements administratifs. Avec les autorités compétentes, le ministère souhaite améliorer les outils de mesure pour mieux « éclairer le débat public ».
Toutes les classes d’âge sont en recul : les moins de 25 ans (-1,2%), les 25-49 ans (-1,9%) et les 50 ans et plus (-1,1%). Ces résultats sont en ligne avec ceux de l’Insee qui se base sur le mode de calcul du Bureau international du travail : l’institut donnait un taux de chômage de 9,3% au premier trimestre, en baisse de 0,4 point par rapport au dernier trimestre 2016. En revanche, les chiffres sont moins bons pour les chômeurs des catégories B et C (ayant un peu travaillé durant le mois), en hausse de 3%.
Muriel Pénicaud, la nouvelle ministre du Travail, a par ailleurs précisé qu’elle s’abstiendrait de commenter les chiffres mensuels du chômage : elle estime qu’ils reflètent mal la réalité car ils peuvent être touchés par des événements administratifs. Avec les autorités compétentes, le ministère souhaite améliorer les outils de mesure pour mieux « éclairer le débat public ».