Si leurs chiffres ne sont pas les mêmes, les cabinets Deloitte et Expectra indiquent que le salaire des cadres a augmenté plus fortement que l'inflation en 2018 : +2,8% pour le premier, +2,4% pour le second. Pour rappel, la hausse moyenne des prix constatée l'an dernier a été de 1,3%. Deloitte a également calculé la hausse des salaires pour les non-cadres : là aussi, elle est plus forte que l'inflation à 2,4%, mais cette progression est moindre que pour les cadres. Mais pour les uns comme pour les autres, le pouvoir d'achat a donc augmenté sensiblement.
Pour Expectra, le salaire médian pour les cadres s'élève à 45 793 euros annuel brut. Les catégories qui ont le plus bénéficié de la hausse de leurs rémunérations l'an dernier sont les contrôleurs financiers avec une progression de 8,4%, les comptables clients (+7,3%), les analystes de risque (+6,4%) et les responsables informatiques (+6,3%). Selon le cabinet, l'expertise exigée par les entreprises pour leurs cadres accélère la hausse des salaires : les qualifications nécessaires provoquent une tension sur le marché de l'emploi. Les entreprises sont donc amenées à augmenter les rémunérations pour trouver les meilleurs profils.
Et tout est bon pour fidéliser les cadres. Deloitte rapporte ainsi que 6 entreprises sur 10 ont versé une « prime Macron » (défiscalisée et désocialisée) en début d'année, dont le montant moyen s'est établi à 450 euros. Ces bonnes nouvelles, pour les cadres comme pour les non-cadres, s'inscrivent dans un contexte général d'amélioration du pouvoir d'achat pour toutes les catégories de salariés.
Pour Expectra, le salaire médian pour les cadres s'élève à 45 793 euros annuel brut. Les catégories qui ont le plus bénéficié de la hausse de leurs rémunérations l'an dernier sont les contrôleurs financiers avec une progression de 8,4%, les comptables clients (+7,3%), les analystes de risque (+6,4%) et les responsables informatiques (+6,3%). Selon le cabinet, l'expertise exigée par les entreprises pour leurs cadres accélère la hausse des salaires : les qualifications nécessaires provoquent une tension sur le marché de l'emploi. Les entreprises sont donc amenées à augmenter les rémunérations pour trouver les meilleurs profils.
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