
La consommation de gaz a augmenté de 11,6 % en 2012.
Actuellement, les stocks de gaz du pays sont pleins à 68 %. L'an dernir, à la même époque, les réserves de gaz du pays étaient pleines à 79 %. L'hiver dernier était rude, très rude. Et pourtant la France n'a souffert aucun problème de chauffage. Il faudrait toutefois s'en inquiéter un peu plus, d'après le directeur de GRTgaz.
« Les alertes que nous avons lancées avant l'été ont été prises au sérieux, mais la situation reste préoccupante » a-t-il déclaré hier, alors que son entreprise véhicule 80 % du gaz acheminé en France. Ce n'est pas la première fois que GRTgaz envisage une pénurie. L'entreprise a lancé plusieurs alertes, depuis le mois de juillet. Mais, à ce jour, la France n'a jamais connu de problème d'approvisionnement.
En vue de pallier à une éventuelle carrence, le ministre français de l'Energie, Philippe Martin, a prévenu ses homologues italiens et allemands, de manière à mettre en place une "action concertée" si le besoin se faisait sentir. La France n'est pourtant pas le seul pays concerné par le problème. La tendance serait même majoritaire en Europe. Or aujourd'hui, il est trop tard pour remplir les réserves d'ici l'hiver.
Le gouvernement et les météorologues croisent donc les doigts pour que ce grand froid tant redouté ne se produise pas. Les pouvoirs publics tentent aujourd'hui, de prendre des mesures nécessaires pour ne pas connaître ce problème, à nouveau, l'an prochain.
« Les alertes que nous avons lancées avant l'été ont été prises au sérieux, mais la situation reste préoccupante » a-t-il déclaré hier, alors que son entreprise véhicule 80 % du gaz acheminé en France. Ce n'est pas la première fois que GRTgaz envisage une pénurie. L'entreprise a lancé plusieurs alertes, depuis le mois de juillet. Mais, à ce jour, la France n'a jamais connu de problème d'approvisionnement.
En vue de pallier à une éventuelle carrence, le ministre français de l'Energie, Philippe Martin, a prévenu ses homologues italiens et allemands, de manière à mettre en place une "action concertée" si le besoin se faisait sentir. La France n'est pourtant pas le seul pays concerné par le problème. La tendance serait même majoritaire en Europe. Or aujourd'hui, il est trop tard pour remplir les réserves d'ici l'hiver.
Le gouvernement et les météorologues croisent donc les doigts pour que ce grand froid tant redouté ne se produise pas. Les pouvoirs publics tentent aujourd'hui, de prendre des mesures nécessaires pour ne pas connaître ce problème, à nouveau, l'an prochain.