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Sous sa coupe, Michelin est passé du statut de l’entreprise familiale à celui de numéro 1 mondial du pneumatique. Pour François Hollande, François Michelin était « un des plus grands industriels de l'après-guerre », un « patron atypique inspiré des valeurs sociales et chrétiennes », a ajouté François Fillon.
François Michelin a hérité en 1955 du groupe fondé par son grand-père et son oncle en 1889 à Clermont-Ferrand. Patron « social » aux inébranlables convictions catholiques, il se montrait aussi très discret, cultivant le goût du silence. En termes industriel, il a poussé Michelin à embrasser l’industrialisation et à s’ouvrir à l’international. Le groupe achète Uniroyal Goodrich aux États-Unis en 1989, l’année où l’entreprise devient numéro 1 mondial.
François Michelin a passé la main en 1999 à son fils, Edouard, qui déclara à l’époque : « Il est des hommes qui marquent leur temps, durablement, M. Michelin, mon père, est des ceux-ci ». Michelin compte aujourd’hui 111 000 employés répartis entre 18 pays et 70 sites. L’entreprise produit 176 millions de pneus.
François Michelin a hérité en 1955 du groupe fondé par son grand-père et son oncle en 1889 à Clermont-Ferrand. Patron « social » aux inébranlables convictions catholiques, il se montrait aussi très discret, cultivant le goût du silence. En termes industriel, il a poussé Michelin à embrasser l’industrialisation et à s’ouvrir à l’international. Le groupe achète Uniroyal Goodrich aux États-Unis en 1989, l’année où l’entreprise devient numéro 1 mondial.
François Michelin a passé la main en 1999 à son fils, Edouard, qui déclara à l’époque : « Il est des hommes qui marquent leur temps, durablement, M. Michelin, mon père, est des ceux-ci ». Michelin compte aujourd’hui 111 000 employés répartis entre 18 pays et 70 sites. L’entreprise produit 176 millions de pneus.