Entre la téléphonie fixe et la téléphonie mobile, Free a touché les 3,7 milliards d’euros de chiffre d’affaires (+18,9%). Une somme qui est proche de son objectif pour 2015, 4 milliards d’euros, et qui a été permise grâce aux parts de marchés que l’offensive Free Mobile a permis de prendre sur les autres opérateurs.
En 2013, avec 13,7 millions d’abonnés en tout (fixe et mobile) en hausse de 3 millions (dont 2,8 millions dans le mobile), Free peut se vanter d’avoir 12% du marché français de la téléphonie mobile. L'acquisition des fréquences de Bouygues Telecom, si elle se fit, aura pour effet d’améliorer le réseau et donc de potentiellement faire croître encore ce parc d’abonnés.
Mais ce qui conforte Free dans son succès ce n’est pas tant son parc abonnés que son bénéfice net qui augmente, en 2013, de 42,3% pour atteindre la somme de 265,4 millions d’euros.
Il en est de même pour le résultat brut d’exploitation qui atteint les 1,2 milliards d’euros en 2013, en hausse de 30,7%. Un résultat qui est essentiellement à mettre sur le compte des résultats du parc abonné en téléphonie fixe, mais qui doit sa petite part de succès, là aussi, au mobile.
Free Mobile est en effet passée d’un Ebitda négatif en 2012 (-46,1 millions d’euros) à un Ebitda positif (+113,5 millions d’euros).
En 2013, avec 13,7 millions d’abonnés en tout (fixe et mobile) en hausse de 3 millions (dont 2,8 millions dans le mobile), Free peut se vanter d’avoir 12% du marché français de la téléphonie mobile. L'acquisition des fréquences de Bouygues Telecom, si elle se fit, aura pour effet d’améliorer le réseau et donc de potentiellement faire croître encore ce parc d’abonnés.
Mais ce qui conforte Free dans son succès ce n’est pas tant son parc abonnés que son bénéfice net qui augmente, en 2013, de 42,3% pour atteindre la somme de 265,4 millions d’euros.
Il en est de même pour le résultat brut d’exploitation qui atteint les 1,2 milliards d’euros en 2013, en hausse de 30,7%. Un résultat qui est essentiellement à mettre sur le compte des résultats du parc abonné en téléphonie fixe, mais qui doit sa petite part de succès, là aussi, au mobile.
Free Mobile est en effet passée d’un Ebitda négatif en 2012 (-46,1 millions d’euros) à un Ebitda positif (+113,5 millions d’euros).