D’après les chiffres obtenus par Le Figaro, les tarifs réglementés du gaz devraient donc progresser « d’au moins » 5% à partir du 1er janvier. Il faut blâmer la hausse des cours du pétrole, ainsi que la contribution climat énergie (alias taxe intérieure de consommation sur le gaz naturel, TICGN), qui font grimper les prix du gaz.
Les tarifs réglementés d’Engie vont augmenter de 2,3% en raison de la hausse du pétrole, une hausse à laquelle s’ajoute les 3% de la TICGN, une taxe adoptée il y a deux ans, et qui est entrée en vigueur l’an dernier. Les prix des tarifs réglementés du gaz ont commencé à augmenter cet automne, après un début d’année où, au contraire, ils ont connu une baisse régulière. Au 1er décembre par exemple, ces prix avaient progressé de 1,59%.
Mais on parle ici d’une hausse de 5%, qui sera d’autant plus difficile à faire accepter que l’inflation reste à des niveaux toujours très bas… et que le gaz est indispensable durant la saison de chauffe. Il faut s’attendre à ce que cette progression fasse partie des enjeux de la campagne électorale.
Les tarifs réglementés d’Engie vont augmenter de 2,3% en raison de la hausse du pétrole, une hausse à laquelle s’ajoute les 3% de la TICGN, une taxe adoptée il y a deux ans, et qui est entrée en vigueur l’an dernier. Les prix des tarifs réglementés du gaz ont commencé à augmenter cet automne, après un début d’année où, au contraire, ils ont connu une baisse régulière. Au 1er décembre par exemple, ces prix avaient progressé de 1,59%.
Mais on parle ici d’une hausse de 5%, qui sera d’autant plus difficile à faire accepter que l’inflation reste à des niveaux toujours très bas… et que le gaz est indispensable durant la saison de chauffe. Il faut s’attendre à ce que cette progression fasse partie des enjeux de la campagne électorale.