Le site de General Electric Hydro basé à Grenoble compte 800 salariés (en tout, ils sont 1 000 en France travaillant pour cette filiale du géant américain). Il produit des turbines hydrauliques servant à des barrages en France et ailleurs dans le monde. Le plan de restructuration toucherait 345 postes sur ce site. GE Hydro n'a pas su relever les défis fixés par la maison-mère : développement du carnet de commandes, augmentation du chiffre d'affaires, rétablissement de la rentabilité.
Selon la note que s'est procurée le quotidien, la structure des coûts est « excessivement élevée », ce qui empêche la filiale d'atteindre ses objectifs. La direction estime que les difficultés structurelles menacent la compétitivité de l'entreprise, dans un marché particulièrement concurrentiel. Le 7 juillet, une rencontre avec les instances représentatives du personnel de GE Hydro est organisée afin de présenter le plan de réorganisation.
La France n'est pas le seul pays concerné. L'Espagne aussi devrait être touchée par cette restructuration d'importance. General Electric assure toute fois que la promesse d'embauche de 1 000 emplois nets en France d'ici la fin de l'année prochaine reste d'actualité. Cet engagement avait été pris par le PDG monde du groupe, Jeffrey Immelt, durant sa visite dans l'Hexagone en juin dernier. GE indique que l'objectif est d'ores et déjà rempli à moitié.
Selon la note que s'est procurée le quotidien, la structure des coûts est « excessivement élevée », ce qui empêche la filiale d'atteindre ses objectifs. La direction estime que les difficultés structurelles menacent la compétitivité de l'entreprise, dans un marché particulièrement concurrentiel. Le 7 juillet, une rencontre avec les instances représentatives du personnel de GE Hydro est organisée afin de présenter le plan de réorganisation.
La France n'est pas le seul pays concerné. L'Espagne aussi devrait être touchée par cette restructuration d'importance. General Electric assure toute fois que la promesse d'embauche de 1 000 emplois nets en France d'ici la fin de l'année prochaine reste d'actualité. Cet engagement avait été pris par le PDG monde du groupe, Jeffrey Immelt, durant sa visite dans l'Hexagone en juin dernier. GE indique que l'objectif est d'ores et déjà rempli à moitié.