Ce mercredi 15 avril 2015 l'information est tombée : Google est formellement accusé d'abus de position dominante pour avoir favorisé certains résultats de recherche plutôt que d'autres. Comme Google capte 80% des recherches internet faites en Europe l'autorité de la concurrence s'était penchée sur la question après avoir reçu de nombreuses plaintes de la part de concurrents du géant américain.
C'est la première fois dans l'histoire de Google, fondée en 1998, qu'une telle accusation est formulée. Aux Etats-Unis l'enquête de même type avait été abandonnée en 2013 (une enquête concernant l'abandon de ces charges est cependant en cours).
Google a deux mois pour prouver son innocence et préparer sa défense mais va à l'encontre d'une amende de 6 milliards d'euros, l'amende pouvant atteindre 10% du chiffre d'affaires mondial du groupe qui a été de 66 milliards d'euros en 2014.
Bruxelles pourrait aussi demander à Google de réaliser des changements de taille dans son organisation et son business model pour prévenir ce type d'abus à l'avenir si elle juge l'entreprise coupable des charges qui lui sont reprochées. De plus, Bruxelles a également annoncé ouvrir une enquête sur l'OS mobile de Google, Android, pour les mêmes raisons.
Sur son blog, ce même mercredi 15 avril 2015, Google a répondu à ces accusation niant tout abus et estimant que toute les accusations sont "loi d'être la vérité".
C'est la première fois dans l'histoire de Google, fondée en 1998, qu'une telle accusation est formulée. Aux Etats-Unis l'enquête de même type avait été abandonnée en 2013 (une enquête concernant l'abandon de ces charges est cependant en cours).
Google a deux mois pour prouver son innocence et préparer sa défense mais va à l'encontre d'une amende de 6 milliards d'euros, l'amende pouvant atteindre 10% du chiffre d'affaires mondial du groupe qui a été de 66 milliards d'euros en 2014.
Bruxelles pourrait aussi demander à Google de réaliser des changements de taille dans son organisation et son business model pour prévenir ce type d'abus à l'avenir si elle juge l'entreprise coupable des charges qui lui sont reprochées. De plus, Bruxelles a également annoncé ouvrir une enquête sur l'OS mobile de Google, Android, pour les mêmes raisons.
Sur son blog, ce même mercredi 15 avril 2015, Google a répondu à ces accusation niant tout abus et estimant que toute les accusations sont "loi d'être la vérité".