Disparités entre l'Ile-de-France et les régions
Les vendeurs seront aux anges : les prix de leurs biens immobiliers ont fortement augmenté au troisième trimestre. Selon l'indice de l'Insee et des notaires, la hausse dans l'immobilier ancien est de 7,4% sur un an, avec une différence significative entre les maisons (+9,4%) et les appartements (+7,5%). L'indice relève également une disparité importante entre les régions, où la hausse est de 8,8%, et la région Ile-de-France qui se « contente », si on peut dire, d'une augmentation de 4%.
À Paris intra-muros, le prix du mètre carré reste stable à 10.790 euros, ave cependant des variations importantes entre les arrondissements : 14.540 euros dans le 6e, 9.250 euros dans le 20e. Les Notaires du Grand Paris relève que Paris demeure « à l'écart de la dynamique de la hausse des prix », une situation qui pourrait se prolonger jusqu'en janvier 2022.
À Paris intra-muros, le prix du mètre carré reste stable à 10.790 euros, ave cependant des variations importantes entre les arrondissements : 14.540 euros dans le 6e, 9.250 euros dans le 20e. Les Notaires du Grand Paris relève que Paris demeure « à l'écart de la dynamique de la hausse des prix », une situation qui pourrait se prolonger jusqu'en janvier 2022.
Goût prononcé pour les maisons
En revanche, la Grande Couronne a bénéficié d'un fort engouement. Il faut y voir les conséquences du télétravail qui permettent aux salariés de déménager dans de plus grands logements tout en conservant leurs emplois. Globalement, en Ile-de-France, les maisons affichent une hausse de leurs prix de 7% sur un an, et de 2,5% pour les appartements (du jamais vu depuis 2016). En moyenne, le mètre carré dans la région s'échange à 6.840 euros, c'est 2,5% de plus par rapport au troisième trimestre 2020.
Le communiqué fait valoir qu'il existe un goût plus fort des Franciliens pour les zones « plus éloignées » en Ile-de-France. Là où les maisons coûtent moins cher. Selon l'Insee, 1,2 million de logements anciens ont été vendus en septembre 2021 sur un an, un volume qui augmente sans discontinuer depuis la fin de l'année dernière.
Le communiqué fait valoir qu'il existe un goût plus fort des Franciliens pour les zones « plus éloignées » en Ile-de-France. Là où les maisons coûtent moins cher. Selon l'Insee, 1,2 million de logements anciens ont été vendus en septembre 2021 sur un an, un volume qui augmente sans discontinuer depuis la fin de l'année dernière.