Mais il était temps pour Alexis Tsipras, le Premier ministre grec, et Angela Merkel d’aplanir leurs différends, même si sur le fond cela n’a pas changé grand chose. « Les Grecs ne sont pas paresseux et les Allemands ne sont pas responsables de tous les maux de la Grèce. Nous devons travailler dur pour dépasser ces stéréotypes », a déclaré Alexis Tsipras lors de la conférence de presse commune entre les deux dirigeants.
La Chancelière et le Premier ministre se sont rencontrés à Berlin et ont pu discuter en tête à tête. L’ambiance était plutôt cordiale, les deux parties cherchant visiblement à s’entendre plutôt qu’à étaler les sujets qui fâchent. « Nous devons mieux nous comprendre, il n'y a pas d'autre voie que le dialogue », a indiqué Alexis Tsipras, tandis qu’Angela Merkel a assuré vouloir mettre en place « une coopération dans un esprit de confiance mutuelle et une Grèce économiquement forte ».
Des vœux pieux alors qu’Athènes a désespérément besoin d’argent frais pour faire face aux échéances de sa dette. La Commission européenne a ainsi promis 2 milliards d’euros pour 2015, mais la Grèce veut aussi débloquer la dernière tranche d’aide de 7,2 milliards promise par le plan de financement européen.
La Chancelière et le Premier ministre se sont rencontrés à Berlin et ont pu discuter en tête à tête. L’ambiance était plutôt cordiale, les deux parties cherchant visiblement à s’entendre plutôt qu’à étaler les sujets qui fâchent. « Nous devons mieux nous comprendre, il n'y a pas d'autre voie que le dialogue », a indiqué Alexis Tsipras, tandis qu’Angela Merkel a assuré vouloir mettre en place « une coopération dans un esprit de confiance mutuelle et une Grèce économiquement forte ».
Des vœux pieux alors qu’Athènes a désespérément besoin d’argent frais pour faire face aux échéances de sa dette. La Commission européenne a ainsi promis 2 milliards d’euros pour 2015, mais la Grèce veut aussi débloquer la dernière tranche d’aide de 7,2 milliards promise par le plan de financement européen.