Le régulateur de Bruxelles a l’intention de demander à ces éditeurs, dont les logiciels permettent de discuter par texte et de passer des appels, d’appliquer les mêmes règles de confidentialité et de respect de la vie privée que les opérateurs télécoms traditionnels. Microsoft (Skype), Facebook (Messenger, WhatsApp) ou encore Google réalisent une partie de leurs chiffres d’affaires en exploitant les données de leurs utilisateurs, afin de leur proposer de la publicité ciblée.
Ces possibilités sont dénoncées depuis des années par les opérateurs de téléphonie classiques, qui sont soumis à des règles plus strictes. Autre problème, cette fois lié à la sécurité, ces modifications dans la directive auront aussi pour effet de limiter la manière dont les communications électroniques sont chiffrées.
La législation qui s’impose aux opérateurs permet aux autorités d’un pays d’accéder aux informations privées que s’échangent les utilisateurs sur les réseaux cellulaires traditionnels. Les éditeurs d’applications mobiles ont quant à eux mis le chiffrement des données au cœur de leurs activités. Un joli casse-tête en perspective…
Ces possibilités sont dénoncées depuis des années par les opérateurs de téléphonie classiques, qui sont soumis à des règles plus strictes. Autre problème, cette fois lié à la sécurité, ces modifications dans la directive auront aussi pour effet de limiter la manière dont les communications électroniques sont chiffrées.
La législation qui s’impose aux opérateurs permet aux autorités d’un pays d’accéder aux informations privées que s’échangent les utilisateurs sur les réseaux cellulaires traditionnels. Les éditeurs d’applications mobiles ont quant à eux mis le chiffrement des données au cœur de leurs activités. Un joli casse-tête en perspective…