La réunion, informelle, qui s'est tenue à Alger mercredi 28 septembre 2016 entre les pays de l'OPEP, ne devait déboucher sur rien. Du moins c'est ce qu'avaient laissé entendre les principaux concernés et ce qu'avait compris le monde entier. D'autant plus que la vraie prochaine réunion de l'OPEP doit se tenir le 30 novembre 2016 à Vienne et que c'était à ce moment-là qu'une décision était attendue.
Finalement, au bout de 5 heures de discussions, la surprise était au rendez-vous. Les pays membres du cartel de l'or noir ont annoncé un accord, de principe probablement, pour réduire la production journalière de pétrole. L'accord définitif pourrait être signé, selon le Wall Street Journal, en novembre à Vienne, celui d'Alger n'en étant pas vraiment un.
Quoiqu'il en soit, les pays producteurs de pétrole ont décidé de baisser de 750 000 barils par jour leur production ce qui porterait l'offre totale disponible sur le marché aux alentours de 33 millions de barils. Un niveau semblable à celui de mars 2016 qui ne devrait toutefois pas résoudre totalement al situation.
Les pays de l'OPEP, malgré cette baisse de production, restent largement au-dessus, de près de 200 000 barils par jour, aux niveaux de production de septembre 2015 et donc largement au-dessus de ceux de juillet 2014 lorsque le pétrole avait atteint un pic au niveau du prix.
De plus, la découverte récente de nouveaux gisements de gaz de schiste aux Etats-Unis et la levée de l'embargo, en début d'année, pesant sur l'Iran pourraient maintenir des niveaux de production largement supérieurs à la demande durant encore des années.
Finalement, au bout de 5 heures de discussions, la surprise était au rendez-vous. Les pays membres du cartel de l'or noir ont annoncé un accord, de principe probablement, pour réduire la production journalière de pétrole. L'accord définitif pourrait être signé, selon le Wall Street Journal, en novembre à Vienne, celui d'Alger n'en étant pas vraiment un.
Quoiqu'il en soit, les pays producteurs de pétrole ont décidé de baisser de 750 000 barils par jour leur production ce qui porterait l'offre totale disponible sur le marché aux alentours de 33 millions de barils. Un niveau semblable à celui de mars 2016 qui ne devrait toutefois pas résoudre totalement al situation.
Les pays de l'OPEP, malgré cette baisse de production, restent largement au-dessus, de près de 200 000 barils par jour, aux niveaux de production de septembre 2015 et donc largement au-dessus de ceux de juillet 2014 lorsque le pétrole avait atteint un pic au niveau du prix.
De plus, la découverte récente de nouveaux gisements de gaz de schiste aux Etats-Unis et la levée de l'embargo, en début d'année, pesant sur l'Iran pourraient maintenir des niveaux de production largement supérieurs à la demande durant encore des années.