Alors que l’opposition ne cesse de clamer l’adhésion à l’Union Européenne et que les rues de Kiev continuent d’être le théâtre de manifestations, les négociations avec la Russie semblent aller de bon train avec la signature d’un programme de coopération qui devrait durer jusqu’en 2020.
Cette signature reste dans la ligne directrice de la politique prise par le gouvernement de Kiev en novembre lorsqu’il avait décidé de tourner le dos à l’Europe. L’Ukraine avait alors refusé de signer un accord avec l’UE rendant inutiles les trois années de préparation qui avaient précédé cette annonce.
Depuis lors, les manifestations se sont succédées dans la capitale mais le gouvernement n’est pas revenu sur sa décision de se rapprocher de la Russie. Une décision très critiquée notamment car poussée par Poutine qui a, dès le refus de la signature de l’accord avec l’UE, annoncé une réduction du prix du gaz pour le pays de 30% et un crédit d’une valeur de 15 milliards de dollars.
La signature de ce programme de coopération qui « ne prévoit toutefois pas l’adhésion de l’Ukraine » à l’union douanière entre Russie, Bélarus et Kazakhstan selon Viktor Souslov, représentant de l’Ukraine dans le processus d’intégration, semble confirmer la volonté de l’Ukraine de devenir un allié de taille de la Russie.
Poutine espère faire entrer l’Ukraine dans son Union douanière afin de renforcer sa présence en Europe de l’Est, l’Ukraine étant un pays en plein développement promis à un bel avenir industriel et qui attire de plus en plus d’investisseurs.
Cette signature reste dans la ligne directrice de la politique prise par le gouvernement de Kiev en novembre lorsqu’il avait décidé de tourner le dos à l’Europe. L’Ukraine avait alors refusé de signer un accord avec l’UE rendant inutiles les trois années de préparation qui avaient précédé cette annonce.
Depuis lors, les manifestations se sont succédées dans la capitale mais le gouvernement n’est pas revenu sur sa décision de se rapprocher de la Russie. Une décision très critiquée notamment car poussée par Poutine qui a, dès le refus de la signature de l’accord avec l’UE, annoncé une réduction du prix du gaz pour le pays de 30% et un crédit d’une valeur de 15 milliards de dollars.
La signature de ce programme de coopération qui « ne prévoit toutefois pas l’adhésion de l’Ukraine » à l’union douanière entre Russie, Bélarus et Kazakhstan selon Viktor Souslov, représentant de l’Ukraine dans le processus d’intégration, semble confirmer la volonté de l’Ukraine de devenir un allié de taille de la Russie.
Poutine espère faire entrer l’Ukraine dans son Union douanière afin de renforcer sa présence en Europe de l’Est, l’Ukraine étant un pays en plein développement promis à un bel avenir industriel et qui attire de plus en plus d’investisseurs.