Entreprendre, du point de vue strictement étymologique, signifie prendre entre ses mains. En d’autres termes : actionner, initier, mettre en œuvre. Bref, cela signifie agir.
« Entrepreneur », ce n’est pas un statut, ou une fonction. « Entrepreneur », c’est une qualité. Celle, intrinsèque, du bâtisseur qui n’entrevoit les conditions de son épanouissement qu’à travers la hauteur des cathédrales qu’il érige.
Car, à l’inverse, c’est dans le statu quo que la braise entrepreneuriale s’éteint à petit feu. Au risque de périr ainsi par l’immobilisme, de nombreux entrepreneurs préfèrent oser le risque d’exploser en plein vol.
De la même manière, l’entrepreneur étouffe dans les carcans, quels qu’ils soient. Pour être entrepreneur, il faut oser être libre. Et contrairement aux idées reçues, ce n’est pas donné à tout le monde : la liberté a forcément un prix.
Pour le reste, un entrepreneur dans l’âme peut parfaitement trouver les conditions de son épanouissement dans le salariat, dès lors que l’organisation dans laquelle il évolue lui confère ce qu’il ose réclamer d’autonomie, de responsabilités et d’espace pour l’expression de sa créativité.
Entreprendre c’est donner un peu de soi à la collectivité en sublimant sa fonction et son utilité sociales. C’est vouloir rester maître du sens que l’on attribue à son engagement dans le travail, dans une œuvre ou dans un combat. A y regarder de plus près, la vie elle-même est une entreprise qui nous force à oser avancer.
En fait, un embryon d’entrepreneur sommeille en chacun de nous. Entreprendre, c’est se donner les moyens d’exister en rêvant, en créant; c’est un état d’esprit que seule l’audace permet d’animer. Une bonne dose de détermination et quelques alliés bienveillants se chargeront du reste. Car entreprendre et réussir sont deux choses différentes. Et dans le tumulte de notre monde, on ne réussit jamais seul.
« Entrepreneur », ce n’est pas un statut, ou une fonction. « Entrepreneur », c’est une qualité. Celle, intrinsèque, du bâtisseur qui n’entrevoit les conditions de son épanouissement qu’à travers la hauteur des cathédrales qu’il érige.
Car, à l’inverse, c’est dans le statu quo que la braise entrepreneuriale s’éteint à petit feu. Au risque de périr ainsi par l’immobilisme, de nombreux entrepreneurs préfèrent oser le risque d’exploser en plein vol.
De la même manière, l’entrepreneur étouffe dans les carcans, quels qu’ils soient. Pour être entrepreneur, il faut oser être libre. Et contrairement aux idées reçues, ce n’est pas donné à tout le monde : la liberté a forcément un prix.
Pour le reste, un entrepreneur dans l’âme peut parfaitement trouver les conditions de son épanouissement dans le salariat, dès lors que l’organisation dans laquelle il évolue lui confère ce qu’il ose réclamer d’autonomie, de responsabilités et d’espace pour l’expression de sa créativité.
Entreprendre c’est donner un peu de soi à la collectivité en sublimant sa fonction et son utilité sociales. C’est vouloir rester maître du sens que l’on attribue à son engagement dans le travail, dans une œuvre ou dans un combat. A y regarder de plus près, la vie elle-même est une entreprise qui nous force à oser avancer.
En fait, un embryon d’entrepreneur sommeille en chacun de nous. Entreprendre, c’est se donner les moyens d’exister en rêvant, en créant; c’est un état d’esprit que seule l’audace permet d’animer. Une bonne dose de détermination et quelques alliés bienveillants se chargeront du reste. Car entreprendre et réussir sont deux choses différentes. Et dans le tumulte de notre monde, on ne réussit jamais seul.