Si l'euro est en forme, c'est surtout que le dollar baisse. Le discours accommodant de Janet Yellen, la présidente de la Réserve fédérale américaine (Fed) a permis à Wall Street de rebondir. Les taux d'intérêt ne devraient pas augmenter afin de soutenir la croissance, dans une période où pèsent les incertitudes internationales.
Pourtant, la logique - du point de vue européen, s'entend - voudrait que l'euro se déprécie : la BCE inonde d'argent la machine économique européenne afin de faire repartir le crédit et l'inflation.
Mais cette montagne d'euros, conséquence d'une politique monétaire désormais très généreuse, ne suffit pas. Depuis un an la devise européenne s'est appréciée de 4,8% face au dollar. Pourtant, un euro faible est nécessaire pour faire redémarrer l'économie en Europe et les exportations. Pour le moment, cette politique très arrangeante ne remplis donc pas sa mission.
Pourtant, la logique - du point de vue européen, s'entend - voudrait que l'euro se déprécie : la BCE inonde d'argent la machine économique européenne afin de faire repartir le crédit et l'inflation.
Mais cette montagne d'euros, conséquence d'une politique monétaire désormais très généreuse, ne suffit pas. Depuis un an la devise européenne s'est appréciée de 4,8% face au dollar. Pourtant, un euro faible est nécessaire pour faire redémarrer l'économie en Europe et les exportations. Pour le moment, cette politique très arrangeante ne remplis donc pas sa mission.