C'est notamment le cas pour les investissements d'avenir. Le CESE a calculé que l'effort de recherche du pays avait été de 2,3% du PIB, loin donc des 3%, l'objectif de la stratégie de Lisbonne. En 2000, les États membres de l'Union européenne décidaient d'investir lourdement afin de transformer la zone en "économie de la connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde".
Cet objectif devait être atteint en 2010. Mais depuis, la crise a frappé et les États ont dû faire des compromis. D'ailleurs, la moyenne européenne dans l'investissement se situe à 1,9% du PIB seulement... La France n'a même pas à rougir de contre-performance.
Néanmoins, le pays n'est pas à la hauteur de l'enjeu, gronde le CESE. "L'intensification de l'effort de recherche, publique comme privé, doit être une priorité au regard des défis considérables à relever" a déclaré le rapporteur du projet, Benedict Donnelly.
Cet objectif devait être atteint en 2010. Mais depuis, la crise a frappé et les États ont dû faire des compromis. D'ailleurs, la moyenne européenne dans l'investissement se situe à 1,9% du PIB seulement... La France n'a même pas à rougir de contre-performance.
Néanmoins, le pays n'est pas à la hauteur de l'enjeu, gronde le CESE. "L'intensification de l'effort de recherche, publique comme privé, doit être une priorité au regard des défis considérables à relever" a déclaré le rapporteur du projet, Benedict Donnelly.