Espérons pour Janet Yellen, la patronne de la Fed, que la situation sera très différente cette fois. L’institution monétaire a toutes les cartes en main pour faire un choix éclairé. Depuis 2008 et la fameuse crise qui a obligé les banques centrales à abaisser leurs taux d’intérêt à des niveaux jamais vus, la situation a fini par se résoudre dans la plupart des pays touchés.
Les États-Unis au premier chef : l’économie américaine créé de l’emploi, l’inflation est maîtrisée mais pas nulle, la consommation est repartie à la hausse tout comme les salaires. Une situation idéale pour amorcer un lent retour vers des taux directeurs plus conformes à une économie saine.
Les acteurs de l’économie US peuvent d’ailleurs remercier les efforts considérables opérés par la Fed ces dernières années. La Réserve a soutenu la croissance du pays en inondant la machine économique sous les dollars. Cette hausse attendue des taux américaines est de nature à accélérer encore la baisse de l’euro face au dollar : la parité pourrait même arriver dès la fin de l’année.
Les États-Unis au premier chef : l’économie américaine créé de l’emploi, l’inflation est maîtrisée mais pas nulle, la consommation est repartie à la hausse tout comme les salaires. Une situation idéale pour amorcer un lent retour vers des taux directeurs plus conformes à une économie saine.
Les acteurs de l’économie US peuvent d’ailleurs remercier les efforts considérables opérés par la Fed ces dernières années. La Réserve a soutenu la croissance du pays en inondant la machine économique sous les dollars. Cette hausse attendue des taux américaines est de nature à accélérer encore la baisse de l’euro face au dollar : la parité pourrait même arriver dès la fin de l’année.