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À ce tarif, les investisseurs ne vont pas gagner grand chose à prêter leur argent à l’hexagone. Mais pourquoi acceptent-ils des taux aussi faibles ? La réponse est simple : la signature de la France est la garantie que leur argent leur sera bel et bien rendu… En ces temps de défauts de paiement, c’est quelque chose qui compte !
Même si l’économie du pays est encore chancelante, malgré un frémissement observé depuis le début de l’année, les taux français bénéficient aussi du déversement de milliards d’euros de la BCE dans le cadre du programme d’assouplissement monétaire qui fait mécaniquement baisser les taux d’emprunt.
Le résultat est là. L’hexagone peut se permettre d’emprunter à des taux historiquement bas et toujours plus proches de zéro : début février, la France levait à un taux de 0,61%… On est encore loin du bund allemand qui, pour la même durée de 10 ans, emprunte à 0,16% ! Mais c’est toujours mieux qu’en 2012 où la France versait un rendement de 3,46% pour de la dette sur 11 ans. Actuellement, les échéances sur 4 ans opèrent même en territoire négatif, avec toujours le même succès.
Même si l’économie du pays est encore chancelante, malgré un frémissement observé depuis le début de l’année, les taux français bénéficient aussi du déversement de milliards d’euros de la BCE dans le cadre du programme d’assouplissement monétaire qui fait mécaniquement baisser les taux d’emprunt.
Le résultat est là. L’hexagone peut se permettre d’emprunter à des taux historiquement bas et toujours plus proches de zéro : début février, la France levait à un taux de 0,61%… On est encore loin du bund allemand qui, pour la même durée de 10 ans, emprunte à 0,16% ! Mais c’est toujours mieux qu’en 2012 où la France versait un rendement de 3,46% pour de la dette sur 11 ans. Actuellement, les échéances sur 4 ans opèrent même en territoire négatif, avec toujours le même succès.