Le Premier ministre et son gouvernement ont obtenu la confiance de l'Assemblée, à une large majorité. Outre l'approbation attendue des 351 députés de La République en Marche et du MoDem, Edouard Philippe a enregistré l'appui de 12 députés Les Républicains-UDI regroupés au sein du groupe des « Constructifs » et de quelques députés de gauche. En tout, 370 voix pour, 67 contre et 129 abstentions.
Sans surprise, le groupe de la France Insoumise de Jean-Luc Mélenchon (17 députés), une bonne partie des élus communistes, ainsi que ceux du Front national ont voté contre. Chez les Républicains, 75 députés se sont abstenus sur 100 ; la Nouvelle Gauche, le groupe constitué par le Parti socialiste, s'est abstenue. Le Premier ministre s'est dit « très heureux » de ce vote et observe que la confiance se soit exprimée « un peu au-delà encore des groupes qui constituent la majorité ».
Le gouvernement se sait maintenant attendu sur ses réformes. Pendant son discours de politique générale, le locataire de Matignon a donné un calendrier sur les principales réformes, notamment les réformes fiscales. Plusieurs d'entre elles vont être repoussées à l'année prochaine étant donné le dérapage financier de 8 milliards d'euros observé par la Cour des comptes et imputable à l'ancienne équipe au pouvoir.
Sans surprise, le groupe de la France Insoumise de Jean-Luc Mélenchon (17 députés), une bonne partie des élus communistes, ainsi que ceux du Front national ont voté contre. Chez les Républicains, 75 députés se sont abstenus sur 100 ; la Nouvelle Gauche, le groupe constitué par le Parti socialiste, s'est abstenue. Le Premier ministre s'est dit « très heureux » de ce vote et observe que la confiance se soit exprimée « un peu au-delà encore des groupes qui constituent la majorité ».
Le gouvernement se sait maintenant attendu sur ses réformes. Pendant son discours de politique générale, le locataire de Matignon a donné un calendrier sur les principales réformes, notamment les réformes fiscales. Plusieurs d'entre elles vont être repoussées à l'année prochaine étant donné le dérapage financier de 8 milliards d'euros observé par la Cour des comptes et imputable à l'ancienne équipe au pouvoir.