Les précédentes estimations du FMI tablaient auparavant sur 3,4% (2016) et 3,6% (2017). Dans la cible du Fonds, les États-Unis et l'Europe : la croissance y était auparavant estimée de respectivement 2,4% et 1,5%. Auparavant, le FMI pronostiquait 2,6% et 1,7%… Outre-Atlantique, ce sont le dollar fort et les prix du pétrole toujours très bas qui devraient tirer la croissance vers le bas.
Sur le vieux continent, là aussi ce sont les prix de l'énergie qui grève la croissance, mais aussi une certaine faiblesse des économies des États membres de l'Europe. En Asie, le Japon est particulièrement faible avec une croissance estimée de 0,5%, alors que le FMI pariait précédemment sur 1%.
La Chine, malgré le ralentissement économique, devrait en revanche s'en tirer mieux que prévu avec des prévisions de 6,5% en 2016 et 6,2% pour 2017 ; c'est plus que le pronostic précédent du Fonds qui annonçait respectivement 6,3% et 6%. Pékin a récemment annoncé des mesures de soutien à l'économie.
Sur le vieux continent, là aussi ce sont les prix de l'énergie qui grève la croissance, mais aussi une certaine faiblesse des économies des États membres de l'Europe. En Asie, le Japon est particulièrement faible avec une croissance estimée de 0,5%, alors que le FMI pariait précédemment sur 1%.
La Chine, malgré le ralentissement économique, devrait en revanche s'en tirer mieux que prévu avec des prévisions de 6,5% en 2016 et 6,2% pour 2017 ; c'est plus que le pronostic précédent du Fonds qui annonçait respectivement 6,3% et 6%. Pékin a récemment annoncé des mesures de soutien à l'économie.