La catégorie A en baisse
Nouveau recul du chômage au mois de juillet, selon la Dares, le service statistiques du ministère du Travail. Le nombre de demandeurs d'emploi inscrits dans la catégorie A (n'ayant exercé aucune activité) a baissé de 1,6% par rapport au mois de juin. Cela représente 60.100 chômeurs en moins d'un mois sur l'autre, pour un total de 3,596 millions de personnes dans la France entière, hors Mayotte.
Le résultat est encore plus flatteur quand on le compare à juillet 2020 : le nombre d'inscrits dans la catégorie A a fondu de 11,1% ! Mais il est difficile de faire des comparaisons par rapport à une période si singulière, alors que la crise sanitaire battait son plein et bousculait l'activité économique du pays. Au mois de juin, la Fares avait enregistré une baisse du nombre de demandeurs d'emploi de la catégorie A (-73.300 personnes), qui suivait une autre baisse encore plus importante en mai, de 134.100 inscrits.
Le résultat est encore plus flatteur quand on le compare à juillet 2020 : le nombre d'inscrits dans la catégorie A a fondu de 11,1% ! Mais il est difficile de faire des comparaisons par rapport à une période si singulière, alors que la crise sanitaire battait son plein et bousculait l'activité économique du pays. Au mois de juin, la Fares avait enregistré une baisse du nombre de demandeurs d'emploi de la catégorie A (-73.300 personnes), qui suivait une autre baisse encore plus importante en mai, de 134.100 inscrits.
Des chiffres mensuels volatils
Le ministère du Travail prévient toutefois que le nombre d'inscrits dans les catégories B et C, c'est à dire ceux qui ont exercé une activité réduite pendant le mois de juillet, a augmenté : 20.600 personnes de plus, soit une hausse de 0,9%. Une hausse due aux fins de contrat et aux retours d'inactivité, selon le bilan mensuel de la direction des statistiques. Toutefois, le nombre total dans les trois catégories reste en recul de 0,7%, soit 39.500 inscrits de moins. Une baisse qui reste « significative », selon la Dares. En tout, il y a 5,927 millions de chômeurs en France.
Le ministère explique toutefois qu'il vaut mieux privilégier les données trimestrielles plutôt que mensuelles, qui sont plus volatiles et « parfois difficiles à interpréter ». Les chiffres trimestriels sont eux aussi en baisse : à la fin du printemps, le taux de chômage s'établissait ainsi à 8% de la population active, soit 0,1 point de moins qu'au premier trimestre.
Le ministère explique toutefois qu'il vaut mieux privilégier les données trimestrielles plutôt que mensuelles, qui sont plus volatiles et « parfois difficiles à interpréter ». Les chiffres trimestriels sont eux aussi en baisse : à la fin du printemps, le taux de chômage s'établissait ainsi à 8% de la population active, soit 0,1 point de moins qu'au premier trimestre.