En mars, qui comptait un jour ouvré de plus par rapport au même mois de 2016, il s’est vendu 226 147 véhicules neufs. Une hausse de 7% qui profite d’abord aux constructeurs automobiles français : les ventes ont augmenté de 8,5% pour le groupe PSA, de 5,2% pour Renault et Dacia. C’est Volkswagen qui reste toutefois en tête : plus d’une voiture sur dix achetée le mois dernier provenait des lignes de production du groupe allemand.
Cette hausse est une bonne nouvelle pour l’industrie automobile dans son ensemble, le mois de février ayant marqué un fléchissement des ventes. Mais ce qui retient surtout l’attention, c’est la part de la motorisation diesel, qui, avec 47%, dépasse pour la première fois l’essence. Un recul d’autant plus remarquable qu’en 2012, le diesel représentait 72% des motorisations, ou encore 52,19% au premier trimestre 2016. Sur les trois premiers mois de cette année, la part du diesel reste supérieure à celle de l’essence, mais d’une courte tête : 47,4% pour le premier, 47,24% pour la seconde.
Une tendance qui devrait se poursuivre durant les mois à venir. Le resserrement de la fiscalité sur le diesel, les incitations gouvernementales pour passer à des véhicules moins polluants, et la mauvaise image donnée au diesel suite au scandale des moteurs truqués de Volkswagen ont fait basculer les mentalités. En Europe de l’ouest, la part du diesel a également reculé sous le seuil des 50%, avec 49,5% au premier trimestre contre 51,6% l’année précédente.
Cette hausse est une bonne nouvelle pour l’industrie automobile dans son ensemble, le mois de février ayant marqué un fléchissement des ventes. Mais ce qui retient surtout l’attention, c’est la part de la motorisation diesel, qui, avec 47%, dépasse pour la première fois l’essence. Un recul d’autant plus remarquable qu’en 2012, le diesel représentait 72% des motorisations, ou encore 52,19% au premier trimestre 2016. Sur les trois premiers mois de cette année, la part du diesel reste supérieure à celle de l’essence, mais d’une courte tête : 47,4% pour le premier, 47,24% pour la seconde.
Une tendance qui devrait se poursuivre durant les mois à venir. Le resserrement de la fiscalité sur le diesel, les incitations gouvernementales pour passer à des véhicules moins polluants, et la mauvaise image donnée au diesel suite au scandale des moteurs truqués de Volkswagen ont fait basculer les mentalités. En Europe de l’ouest, la part du diesel a également reculé sous le seuil des 50%, avec 49,5% au premier trimestre contre 51,6% l’année précédente.