Une somme difficile à imaginer, qui s'explique par l'offre d'AB InBev de proposer 42,15 livres sterling en cash pour une action de SABMiller. Malgré le montant, Jan du Plessis le président de l'entreprise convoitée a estimé que le géant de la boisson « sous évaluait » SABMiller. De fait, l'offre a été rejetée par le conseil d'administration de la société.
Ce n'est pourtant pas la première tentative d'AB InBev (Stella Artois, Budweiser) pour avaler son concurrent propriétaire des marques Coors, Miller ou encore Forster's. Il avait en effet proposé auparavant 38 livres par action, puis 40 livres. Sans effet, au grand dam du géant belgo-brésilien qui souhaitait devenir l'une des entreprises les plus importantes sur le marché des produits de grande consommation.
La nouvelle entité aurait pesé 64 milliards de dollars annuel de chiffre d'affaires, pour un résultat d'exploitation de 24 milliards. L'alliance du numéro 1 et numéro 2 mondial aurait également pris le contrôle de 30% du marché. Surtout, ce mariage avait surtout pour objectif pour AB InBev de s'installer en Afrique où SABMiller est bien implanté, alors que ses ventes en Europe et aux États-Unis s'érodent.
Ce n'est pourtant pas la première tentative d'AB InBev (Stella Artois, Budweiser) pour avaler son concurrent propriétaire des marques Coors, Miller ou encore Forster's. Il avait en effet proposé auparavant 38 livres par action, puis 40 livres. Sans effet, au grand dam du géant belgo-brésilien qui souhaitait devenir l'une des entreprises les plus importantes sur le marché des produits de grande consommation.
La nouvelle entité aurait pesé 64 milliards de dollars annuel de chiffre d'affaires, pour un résultat d'exploitation de 24 milliards. L'alliance du numéro 1 et numéro 2 mondial aurait également pris le contrôle de 30% du marché. Surtout, ce mariage avait surtout pour objectif pour AB InBev de s'installer en Afrique où SABMiller est bien implanté, alors que ses ventes en Europe et aux États-Unis s'érodent.