Le patrimoine des ménages s’élève à 8,3 fois leur revenu disponible net
À fin 2016, le patrimoine des ménages s’établit à 11 145 milliards d’euros, soit 8,3 fois leur revenu disponible net de l’année, annonce l’INSEE. Il marque une certaine accélération par rapport à l’année précédente (+3,2 % en 2016 contre +2,2 % en 2015).
En 2016, la hausse est largement due à la progression des prix de l’immobilier que détiennent les ménages (puisque le patrimoine des ménages est constitué pour deux tiers de l’immobilier). En 2016, l’immobilier ancien a gagné 2 % en valeur (après une baisse de 0,1 % en 2015). Y contribue également la construction neuve, le nombre de logements commencés en 2016 marquant une hausse de 9,7 % (après une baisse de 0,7 % en 2015).
En 2016, la hausse est largement due à la progression des prix de l’immobilier que détiennent les ménages (puisque le patrimoine des ménages est constitué pour deux tiers de l’immobilier). En 2016, l’immobilier ancien a gagné 2 % en valeur (après une baisse de 0,1 % en 2015). Y contribue également la construction neuve, le nombre de logements commencés en 2016 marquant une hausse de 9,7 % (après une baisse de 0,7 % en 2015).
La valeur des actifs financiers enregistre une hausse notable
Les actifs financiers augmentent de 3,8 % (après +5,0 % en 2015). Cette augmentation est attribuable principalement à la hausse des actifs en assurance-vie, qui est de 3,1 %. En même temps, les placements bancaires s’intensifient, l’encours en numéraire et dépôts progressant de 4,1 % après +3,4 % en 2015.
L’INSEE révèle par ailleurs qu’en 2016, les ménages favorisent les plans d’épargne-logement. L’encours des actions et parts de fonds d’investissement continue d’augmenter, mais à un rythme moins soutenu (+2,9 %, après +8,0 % en 2015). Cette hausse des encours s’explique en partie par une revalorisation des actions en 2016 (l’indice boursier SBF 120 a progressé de 4,7 % sur l’année).
L’INSEE révèle par ailleurs qu’en 2016, les ménages favorisent les plans d’épargne-logement. L’encours des actions et parts de fonds d’investissement continue d’augmenter, mais à un rythme moins soutenu (+2,9 %, après +8,0 % en 2015). Cette hausse des encours s’explique en partie par une revalorisation des actions en 2016 (l’indice boursier SBF 120 a progressé de 4,7 % sur l’année).
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