La Banque de France a prévu une croissance de 0,3% au troisième trimestre, soit 0,1 point de mieux qu'au second trimestre. C'est peu, mais c'est une augmentation tout de même. L'institution monétaire a basé cette prévision sur son enquête mensuelle de conjecture qui montre que les chefs d'entreprises prévoient un rebond de leur activité. Ce sera tout particulièrement le cas dans le secteur du bâtiment, ce qui permet ainsi à la Banque de France de pronostiquer ce chiffre un peu meilleur que durant les trois derniers mois.
L'activité dans le bâtiment devrait donc progresser au mois de juillet, un peu plus fort que dans le secteur des services. La banque centrale annonce ainsi une « légère accélération » pour ce dernier. La production industrielle pourrait par contre se contenter du strict minimum, avec une progression modérée de la croissance pour juillet. Le trou d'air dans la progression du PIB français ne devrait donc donc pas se résorber pendant l'été, même si les choses vont un peu mieux.
La Banque de France a attribué la faiblesse de la croissance hexagonale du deuxième trimestre (0,2% seulement) à la consommation des ménages en recul, malgré l'amélioration conséquente du pouvoir d'achat. L'institution a mesuré un acquis de croissance au premier semestre à 1% ; si elle restait stable au cours des six derniers mois de l'année, le gouvernement devrait donc composer avec ce niveau de croissance. L'exécutif a parié sur une progression du PIB de 1,4% pour l'année.
L'activité dans le bâtiment devrait donc progresser au mois de juillet, un peu plus fort que dans le secteur des services. La banque centrale annonce ainsi une « légère accélération » pour ce dernier. La production industrielle pourrait par contre se contenter du strict minimum, avec une progression modérée de la croissance pour juillet. Le trou d'air dans la progression du PIB français ne devrait donc donc pas se résorber pendant l'été, même si les choses vont un peu mieux.
La Banque de France a attribué la faiblesse de la croissance hexagonale du deuxième trimestre (0,2% seulement) à la consommation des ménages en recul, malgré l'amélioration conséquente du pouvoir d'achat. L'institution a mesuré un acquis de croissance au premier semestre à 1% ; si elle restait stable au cours des six derniers mois de l'année, le gouvernement devrait donc composer avec ce niveau de croissance. L'exécutif a parié sur une progression du PIB de 1,4% pour l'année.