Répit pour les départs en vacances
Alors que les départs pour les grandes vacances battent leur plein depuis quelques jours, les prix des carburants sont en légère baisse dans les stations service. Le ministère de la Transition écologique annonce que le litre de gazole est en moyenne de 2,0643 euros, un chiffre en baisse de 6 centimes. Le SP95 a enregistré une baisse plus modeste d'un centime à 2,0823. Il en va de même pour le SP95-E10 (2,0288 euros) et le SP98 (2,1390 euros).
Ces baisses sont le reflet des cours du pétrole qui sont en baisse depuis mi-juin. Le baril de Brent est en effet passé de 118 dollars à 111 dollars durant ces quinze jours. Toutefois, ce prix demeure très élevé et en moyenne mensuelle, son prix est de 123 dollars le baril. Il s'agit donc d'un soulagement pour les automobilistes, mais il pourrait être passager.
Ces baisses sont le reflet des cours du pétrole qui sont en baisse depuis mi-juin. Le baril de Brent est en effet passé de 118 dollars à 111 dollars durant ces quinze jours. Toutefois, ce prix demeure très élevé et en moyenne mensuelle, son prix est de 123 dollars le baril. Il s'agit donc d'un soulagement pour les automobilistes, mais il pourrait être passager.
Aides gouvernementales
Le gouvernement a mis en place une remise de 18 centimes le litre, qui pourrait être prolongée jusqu'à fin août, voire jusqu'à la fin de l'année, comme c'est inscrit dans le projet de loi sur le pouvoir d'achat dont les parlementaires vont s'emparer. Les oppositions pourraient donner de la voix à cette occasion et réclamer par exemple des baisses des taxes.
Mais ce n'est pas tout, l'exécutif travaille également sur un nouveau dispositif d'aide pour les automobilistes qui ne peuvent pas faire autrement que de prendre leur voiture aller travailler. Une indemnité pourrait leur être versée, en fonction des revenus. Bercy fait miroiter une aide pour environ 11 millions de foyers touchant jusqu'à 1.600 euros nets par mois.
Mais ce n'est pas tout, l'exécutif travaille également sur un nouveau dispositif d'aide pour les automobilistes qui ne peuvent pas faire autrement que de prendre leur voiture aller travailler. Une indemnité pourrait leur être versée, en fonction des revenus. Bercy fait miroiter une aide pour environ 11 millions de foyers touchant jusqu'à 1.600 euros nets par mois.