Le CES, plus grand salon de l’électronique grand public au monde, a ouvert ses portes à L’as Vegas ce lundi. Des centaines d’entreprises y présentent leurs innovations, dont beaucoup de françaises : le contingent hexagonal est en effet le deuxième plus important cette année. Il existe un label permettant de distinguer les start-up françaises : « French Tech ». Mounir Mahjoubi, le secrétaire d’État en charge du numérique, veut aller plus loin en mettant en place le Next 40.
Il s’agit de relever au sein de la French Tech les 40 entreprises les plus prometteuses. Mounir Mahjoubi a expliqué le principe au micro de BFM Business : « Ce sera un indice, déterminé par un jury indépendant, des 40 start-up françaises dont on considère qu'elles ont le plus fort potentiel, et de développement économique, et d'impact sur la planète et sur les humains ». Plusieurs start-up françaises sont aujourd’hui installées dans le paysage, elles « créent des filiales à travers le monde, et surtout on a des start-up qui changent la vie des gens ».
Le CES est un lieu d’exposition qui n’a pas d’équivalent dans le monde. C’est également un lieu où les entreprises peuvent discuter avec de potentiels investisseurs. 420 sociétés françaises y sont actuellement présentes, dont 300 start-up. Les membres du gouvernement ne s’y sont pas rendus cette année en raison du mouvement des « gilets jaunes ».
Il s’agit de relever au sein de la French Tech les 40 entreprises les plus prometteuses. Mounir Mahjoubi a expliqué le principe au micro de BFM Business : « Ce sera un indice, déterminé par un jury indépendant, des 40 start-up françaises dont on considère qu'elles ont le plus fort potentiel, et de développement économique, et d'impact sur la planète et sur les humains ». Plusieurs start-up françaises sont aujourd’hui installées dans le paysage, elles « créent des filiales à travers le monde, et surtout on a des start-up qui changent la vie des gens ».
Le CES est un lieu d’exposition qui n’a pas d’équivalent dans le monde. C’est également un lieu où les entreprises peuvent discuter avec de potentiels investisseurs. 420 sociétés françaises y sont actuellement présentes, dont 300 start-up. Les membres du gouvernement ne s’y sont pas rendus cette année en raison du mouvement des « gilets jaunes ».