Les planètes semblent plus ou moins bien alignées pour qu'un accord soit trouvé entre les pays producteurs de pétrole, qui cherchent depuis des mois à enrayer la spirale de la baisse des prix du brut. Au secrétariat de l'Opep, on se dit en tout cas confiant dans la réussite de la prochaine réunion à la fin du mois prochain, avec un coup de pouce de la Russie qui a déjà indiqué se tenir prêt à un effort.
Le mois dernier, l'Opep était déjà parvenue à un accord de principe, mais pour une réduction de la production à un minimum de 32,5 millions de barils/jour, contre 33,39 millions en moyenne en septembre. Si tous les pays de l'organisation (14 en tout) continuent à s'entendre sur la limitation de la production, alors il est probable qu'un accord plus contraignant soit trouvé le 30 novembre.
Mais tout peut encore capoter. Certains pays comme l'Iran ont demandé des mesures d'exception en raison de leur situation politique. Néanmoins, l'optimisme semble prévaloir sur les marchés : le baril connait une progression de son prix continue depuis les discussions préliminaires ; le Brent de mer du Nord a ainsi atteint les 50 $.
Le mois dernier, l'Opep était déjà parvenue à un accord de principe, mais pour une réduction de la production à un minimum de 32,5 millions de barils/jour, contre 33,39 millions en moyenne en septembre. Si tous les pays de l'organisation (14 en tout) continuent à s'entendre sur la limitation de la production, alors il est probable qu'un accord plus contraignant soit trouvé le 30 novembre.
Mais tout peut encore capoter. Certains pays comme l'Iran ont demandé des mesures d'exception en raison de leur situation politique. Néanmoins, l'optimisme semble prévaloir sur les marchés : le baril connait une progression de son prix continue depuis les discussions préliminaires ; le Brent de mer du Nord a ainsi atteint les 50 $.
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