Pourtant, de nombreux automobilistes sont coincés dans d’interminables files d’attente devant de nombreuses stations essence. D’après les derniers chiffres, 45% de ces stations sont en état de pénurie totale ou partielle (soit 4 500 stations). Une situation difficile, voire inextricable, pour les conducteurs qui ne savent plus à quel saint se vouer.
Alain Vidalies se veut toutefois rassurant. Au micro d’Europe 1, il affirme en effet que le pays ne « risque pas de manquer » d’essence. Samedi, il rencontrera d’ailleurs les compagnies pétrolières et les acteurs du secteur touchées par les blocages orchestrés par la CGT. Mais pour le moment, ni lui ni le Premier ministre n’ont l’intention de procéder à des réquisitions des salariés en grève.
« La réquisition se fait dans des conditions juridiques qui ne sont pas réunies », estime le secrétaire d’État aux Transports. Manuel Valls n’a pas dit autre chose sur BFMTV… même si cela pourrait changer. « Si j'annonce aujourd'hui la réquisition alors que les conditions juridiques ne sont pas remplies, ça ne sert à rien ». Mais si le conflit se prolonge, alors plus rien n’est impossible.
Alain Vidalies se veut toutefois rassurant. Au micro d’Europe 1, il affirme en effet que le pays ne « risque pas de manquer » d’essence. Samedi, il rencontrera d’ailleurs les compagnies pétrolières et les acteurs du secteur touchées par les blocages orchestrés par la CGT. Mais pour le moment, ni lui ni le Premier ministre n’ont l’intention de procéder à des réquisitions des salariés en grève.
« La réquisition se fait dans des conditions juridiques qui ne sont pas réunies », estime le secrétaire d’État aux Transports. Manuel Valls n’a pas dit autre chose sur BFMTV… même si cela pourrait changer. « Si j'annonce aujourd'hui la réquisition alors que les conditions juridiques ne sont pas remplies, ça ne sert à rien ». Mais si le conflit se prolonge, alors plus rien n’est impossible.