Une étude réalisée par YouGov pour le compte de Marco Vasco montre que plus de sept Français sur dix (73%) parlent de la campagne électorale et, plus largement, de politique dans l'entreprise, autour de la machine à café et entre deux bureaux. Les rebondissements et les péripéties qui touchent les principaux candidats, et l'attention extrême portée par les médias — notamment les chaînes tout-infos — expliquent en grande partie cet engouement pour la chose publique.
Autre enseignement intéressant de ce sondage : 68% des Français interrogés ne se disent pas prêts à mentir sur leurs convictions ou leur appartenance politique sur le lieu de travail. La cristallisation des opinions en cette période est normale, le sujet étant dans toutes les têtes. Cela n'empêche pas une certaine souplesse ! Ainsi, 12% des hommes seraient prêts à dissimuler leurs véritables opinions pour mieux se faire accepter de leurs collègues. Près de deux jeunes sur dix sont même prêts à mentir pour obtenir une augmentation !
Il existe une ligne jaune en entreprises : le vote Front National. Le parti d'extrême-droite continue de provoquer des réactions épidermiques, y compris sur le lieu de travail. 25% des personnes interrogées disent ainsi qu'elles jugeraient négativement un collègue qui aurait voté pour le Front National. La part est encore plus importante chez les Français âgés de 18 à 44 ans : un tiers d'entre eux verraient leurs relations professionnelles affectées.
Autre enseignement intéressant de ce sondage : 68% des Français interrogés ne se disent pas prêts à mentir sur leurs convictions ou leur appartenance politique sur le lieu de travail. La cristallisation des opinions en cette période est normale, le sujet étant dans toutes les têtes. Cela n'empêche pas une certaine souplesse ! Ainsi, 12% des hommes seraient prêts à dissimuler leurs véritables opinions pour mieux se faire accepter de leurs collègues. Près de deux jeunes sur dix sont même prêts à mentir pour obtenir une augmentation !
Il existe une ligne jaune en entreprises : le vote Front National. Le parti d'extrême-droite continue de provoquer des réactions épidermiques, y compris sur le lieu de travail. 25% des personnes interrogées disent ainsi qu'elles jugeraient négativement un collègue qui aurait voté pour le Front National. La part est encore plus importante chez les Français âgés de 18 à 44 ans : un tiers d'entre eux verraient leurs relations professionnelles affectées.
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