Christine Lagarde a appelé l'Europe à ne pas se reposer sur ses lauriers, car la crise n'est pas réglée.
Le message de la directrice générale du FMI est clair. "La crise n'est pas derrière nous", et tout ne va pas bien. Il faut donc redouble d'efforts.
"Pouvons-nous vraiment dire que la crise est derrière nous quand il y a 12 % de la population active sans emploi ?" s'est-elle demandée devant le Comité économique et social européen (CESE). "Il n'y a pas lieu de crier victoire. Il faut faire plus" a-t-elle également déclarée. Concrètement, la directrice du FMI a demandé à l'Union européenne de passer la vitesse supérieure et d'engager les réformes nécessaires à la sortie de crise, notamment au sujet de la fameuse union bancaire. Elle a également appelé la Banque centrale européenne (BCE) a maintenir le plus longtemps possible ses taux d'intérêts à un niveau bas, pour ne pas mettre en péril les banques nationales et les gouvernements.
"Il y a des signes évidents que tout ne va pas bien" au sein de l'Union européenne s'est exprimée la présidente du FMI. Il ne faut pas être grand clerc pour faire un tel constat. En ce qui concerne l'union bancaire, cette dernière reste une "priorité". Mardi, d'ailleurs, les ministres des Finances de l'Union européenne ont entamé des négociations à ce sujet, sur le mécanisme chargé de décider du sort des banques en faillite, au sein de la zone euro.
"Notre position au FMI est assez simple : l'union bancaire doit être un ensemble simple avec un mécanisme unique de supervision et un mécanisme unique de résolution des banques équipé d'un filet de sécurité commun" a conclu Christine Lagarde. Néanmoins, tout n'est pas noir non plus. La présidente du FMI a salué en effet les progrès de l'Europe depuis le début de la crise, et notamment les prévisions de croissance à la hausse, envisagée à 1 % pour 2014, et la légère baisse des chiffres du chômage.
"Pouvons-nous vraiment dire que la crise est derrière nous quand il y a 12 % de la population active sans emploi ?" s'est-elle demandée devant le Comité économique et social européen (CESE). "Il n'y a pas lieu de crier victoire. Il faut faire plus" a-t-elle également déclarée. Concrètement, la directrice du FMI a demandé à l'Union européenne de passer la vitesse supérieure et d'engager les réformes nécessaires à la sortie de crise, notamment au sujet de la fameuse union bancaire. Elle a également appelé la Banque centrale européenne (BCE) a maintenir le plus longtemps possible ses taux d'intérêts à un niveau bas, pour ne pas mettre en péril les banques nationales et les gouvernements.
"Il y a des signes évidents que tout ne va pas bien" au sein de l'Union européenne s'est exprimée la présidente du FMI. Il ne faut pas être grand clerc pour faire un tel constat. En ce qui concerne l'union bancaire, cette dernière reste une "priorité". Mardi, d'ailleurs, les ministres des Finances de l'Union européenne ont entamé des négociations à ce sujet, sur le mécanisme chargé de décider du sort des banques en faillite, au sein de la zone euro.
"Notre position au FMI est assez simple : l'union bancaire doit être un ensemble simple avec un mécanisme unique de supervision et un mécanisme unique de résolution des banques équipé d'un filet de sécurité commun" a conclu Christine Lagarde. Néanmoins, tout n'est pas noir non plus. La présidente du FMI a salué en effet les progrès de l'Europe depuis le début de la crise, et notamment les prévisions de croissance à la hausse, envisagée à 1 % pour 2014, et la légère baisse des chiffres du chômage.