Le déficit a baissé de 1,4 milliard d'euros l'an dernier ; il ressort à 69,1 milliards, ce qui n'est pas si mal considérant la prévision de 72,3 milliards. Mais ce résultat est surtout le fait d'une charge de la dette moins élevée ainsi qu'au solde des comptes spéciaux (plus de 3 milliards supérieurs aux attentes). En ne tenant pas compte de ces éléments conjoncturels, la Cour calcule que le déficit budgétaire de 2016 est plus élevé qu'en 2013…
Le déficit est surtout supérieur de 85% à celui enregistré en 2007, soit le niveau d'avant la crise où il s'établissait à 38,4 milliards d'euros. La dette elle a continuer sa progression l'an dernier, de 45 milliards ; elle pèse désormais 1 621 milliards. Tout n'est pas noir pour autant, car les caisses de l'État ont bénéficié d'éléments exceptionnels en 2016.
C'est le cas par exemple des 6 milliards d'euros provenant de la redevance hertzienne ou des bons résultats de la Coface. Toutefois, les recettes (284,1 milliards d'euros) n'ont pas été aussi élevées qu'escomptées puisqu'elles ont été inférieures de 3,8 milliards par rapport aux prévisions. L'impôt sur les sociétés, notamment, représente 3 milliards sur ce manque à gagner.
Le déficit est surtout supérieur de 85% à celui enregistré en 2007, soit le niveau d'avant la crise où il s'établissait à 38,4 milliards d'euros. La dette elle a continuer sa progression l'an dernier, de 45 milliards ; elle pèse désormais 1 621 milliards. Tout n'est pas noir pour autant, car les caisses de l'État ont bénéficié d'éléments exceptionnels en 2016.
C'est le cas par exemple des 6 milliards d'euros provenant de la redevance hertzienne ou des bons résultats de la Coface. Toutefois, les recettes (284,1 milliards d'euros) n'ont pas été aussi élevées qu'escomptées puisqu'elles ont été inférieures de 3,8 milliards par rapport aux prévisions. L'impôt sur les sociétés, notamment, représente 3 milliards sur ce manque à gagner.