L’affaire n’est pas encore faite, mais le groupe LVMH serait rentré en discussions exclusives pour s’emparer des deux quotidiens jumeaux d’Amaury. LVMH y gagnerait là l’appui de journaux reconnus et appréciés non seulement des lecteurs mais aussi des annonceurs ; ils complèteraient parfaitement Les Echos, que possèdent déjà le groupe de Bernard Arnault.
D’après les dernières bruits de couloir, LVMH pourrait mettre jusqu’à 50 millions d’euros sur la table pour s’emparer des journaux d’Amaury, qui ont déjà été estimés à 150 millions d’euros. Un gros client donc pour Les Echos, dont le chiffre d’affaires s’est monté à 149 millions en 2014, ce d’autant que le contexte économique reste difficile pour la presse traditionnelle.
À eux deux, les groupes Les Echos et Le Parisien représente 335 millions d’euros de chiffres d’affaires et 10 millions de visiteurs uniques sur leurs sites web : c’est plus que Le Monde et Le Figaro. Autant dire qu’un mastodonte de la presse naitrait de cette acquisition.
D’après les dernières bruits de couloir, LVMH pourrait mettre jusqu’à 50 millions d’euros sur la table pour s’emparer des journaux d’Amaury, qui ont déjà été estimés à 150 millions d’euros. Un gros client donc pour Les Echos, dont le chiffre d’affaires s’est monté à 149 millions en 2014, ce d’autant que le contexte économique reste difficile pour la presse traditionnelle.
À eux deux, les groupes Les Echos et Le Parisien représente 335 millions d’euros de chiffres d’affaires et 10 millions de visiteurs uniques sur leurs sites web : c’est plus que Le Monde et Le Figaro. Autant dire qu’un mastodonte de la presse naitrait de cette acquisition.