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D’après l’Office nationale des statistiques (ONS), la croissance du PIB a atteint au Royaume-Uni 0,7% au second trimestre. Il s’agit d’une estimation, mais elle est suffisamment fiable pour faire le bonheur des économistes et des dirigeants du pays. D’ailleurs, ce chiffre est dans la droite ligne des estimations.
La croissance au deuxième trimestre a été portée par le secteur des services, mais elle a également profité de la hausse des cours des matières premières : l’extraction de pétrole et de gaz a largement participé à cette bonne santé. Seul point noir : la construction, qui reste toujours aussi faible.
De janvier à fin mars, le pays avait enregistré une croissance de 0,4%. Sur l’année, Londres devrait atteindre les 2,6% pour l’année, ce qui en ferait l’économie du G7 qui croît le plus vite en 2015 ; c’était d’ailleurs déjà le cas l’an dernier. On y prend goût, de l’autre côté de la Manche, mais gare : pour éviter la surchauffe, la Banque d’Angleterre va relever ses taux directeurs d’ici la fin de l’année.
La croissance au deuxième trimestre a été portée par le secteur des services, mais elle a également profité de la hausse des cours des matières premières : l’extraction de pétrole et de gaz a largement participé à cette bonne santé. Seul point noir : la construction, qui reste toujours aussi faible.
De janvier à fin mars, le pays avait enregistré une croissance de 0,4%. Sur l’année, Londres devrait atteindre les 2,6% pour l’année, ce qui en ferait l’économie du G7 qui croît le plus vite en 2015 ; c’était d’ailleurs déjà le cas l’an dernier. On y prend goût, de l’autre côté de la Manche, mais gare : pour éviter la surchauffe, la Banque d’Angleterre va relever ses taux directeurs d’ici la fin de l’année.