L’entreprise italienne, principal concurrent des chantiers navals de Saint-Nazaire, compte 20 chantiers dans le monde et elle emploie près de 20 000 personnes. Selon Ouest France, le PDG de Fincantieri a rencontré le secrétaire d’État à l’Industrie le 22 décembre pour évoquer cette reprise. Sur le papier, le groupe a tout pour séduire l’État, qui possède un tiers du capital de STX France.
Fincantieri est en effet un industriel du secteur, « fiable » et « européen ». Et c’est le seul qui a déposé une offre de reprise auprès du tribunal de commerce de Séoul qui gère le dossier. La justice coréenne donnera son verdict le 3 janvier. On saura si les chantiers de Saint-Nazaire vogueront sous pavillon italien à cette date.
L’enjeu est de taille, les chantiers navals français étant la seule branche rentable du groupe coréen. Et ils engrangent des commandes toujours plus importantes : les dernières représentaient 4 milliards d’euros et des millions d’heures de travail.
Fincantieri est en effet un industriel du secteur, « fiable » et « européen ». Et c’est le seul qui a déposé une offre de reprise auprès du tribunal de commerce de Séoul qui gère le dossier. La justice coréenne donnera son verdict le 3 janvier. On saura si les chantiers de Saint-Nazaire vogueront sous pavillon italien à cette date.
L’enjeu est de taille, les chantiers navals français étant la seule branche rentable du groupe coréen. Et ils engrangent des commandes toujours plus importantes : les dernières représentaient 4 milliards d’euros et des millions d’heures de travail.