Sur les trois premiers mois de l'année, il s'est crée en France 89 700 postes, un chiffre en progression de 0,4% par rapport au même trimestre de l'an passé. Un résultat qui suite une autre hausse, de 0,3% celle-là, enregistrée au dernier trimestre 2016. C'est le secteur privé qui est le plus gros pourvoyeur de postes avec un total de 80 300, avec le secteur public qui a crée 9 500 postes.
Le premier trimestre 2017 est le huitième consécutif à présenter un solde net des créations d'emplois. Les services sont le plus pourvoyeur de postes, avec un total de 71 600 créations. La construction a retrouvé le chemin de la création de postes avec 9 300 emplois nets, soit 0,7% de plus. En revanche, l'industrie a perdu 5 200 postes, ce qui représente un total de 20 000 emplois détruits sur les douze derniers mois. Le travail intérimaire, de son côté, affiche 17 000 postes de plus sur le premier trimestre, soit un total de 93 000 emplois sur un an.
Sur les douze derniers mois, la machine économique tricolore a créé 284 100 emplois. C'est une progression solide de 1,2% par rapport aux douze mois précédents. Sur la même période, les services sont à l'origine de 153 700 emplois, hors intérim. Les services non marchands ont généré à eux seuls 50 500 emplois sur un an. On pourra objecter que l'Insee a ajouté de nouveaux secteurs dans son décompte, mais il n'empêche : il s'agit là de chiffres tout à fait satisfaisants et qui laissent à penser que l'activité est soutenue. De bon augure donc pour le tout jeune exécutif qui entend réduire le chômage à 7% de la population active d'ici 2022.
Le premier trimestre 2017 est le huitième consécutif à présenter un solde net des créations d'emplois. Les services sont le plus pourvoyeur de postes, avec un total de 71 600 créations. La construction a retrouvé le chemin de la création de postes avec 9 300 emplois nets, soit 0,7% de plus. En revanche, l'industrie a perdu 5 200 postes, ce qui représente un total de 20 000 emplois détruits sur les douze derniers mois. Le travail intérimaire, de son côté, affiche 17 000 postes de plus sur le premier trimestre, soit un total de 93 000 emplois sur un an.
Sur les douze derniers mois, la machine économique tricolore a créé 284 100 emplois. C'est une progression solide de 1,2% par rapport aux douze mois précédents. Sur la même période, les services sont à l'origine de 153 700 emplois, hors intérim. Les services non marchands ont généré à eux seuls 50 500 emplois sur un an. On pourra objecter que l'Insee a ajouté de nouveaux secteurs dans son décompte, mais il n'empêche : il s'agit là de chiffres tout à fait satisfaisants et qui laissent à penser que l'activité est soutenue. De bon augure donc pour le tout jeune exécutif qui entend réduire le chômage à 7% de la population active d'ici 2022.
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