Pour le moment, les discussions vont bon train et chaque camp compte les points. Le Premier ministre anglais a ainsi jugé « insuffisants » les progrès dans les négociations de ces derniers jours. Du côté de la Commission européenne, on estime que la réunion a été « constructive » mais « difficile ». Martin Shultz, le président du Parlement européen, s'est dit prudemment optimiste sur une issue favorable.
En attendant, David Cameron continue de mettre la pression sur ses partenaires afin d'obtenir toutes les réformes qu'il exige en vue du référendum sur le maintien du Royaume-Uni dans l'Union, qui devrait être organisé en 2017. Une mesure en particulier cristallise les négociations : le pays veut priver les ressortissants européens d'aides sociales pendu quatre ans.
Un cases-belli pour l'Union, qui a fait de la libre circulation des biens et des personnes une pierre angulaire de ses valeurs. D'autres demandes pourraient plus facilement aboutir, comme la participation des pays non membres de l'UE dans les décisions de la zone euro, l'amélioration de la compétitivité de l'économie du vieux continent, ou un gain de souveraineté des parlements nationaux.
En attendant, David Cameron continue de mettre la pression sur ses partenaires afin d'obtenir toutes les réformes qu'il exige en vue du référendum sur le maintien du Royaume-Uni dans l'Union, qui devrait être organisé en 2017. Une mesure en particulier cristallise les négociations : le pays veut priver les ressortissants européens d'aides sociales pendu quatre ans.
Un cases-belli pour l'Union, qui a fait de la libre circulation des biens et des personnes une pierre angulaire de ses valeurs. D'autres demandes pourraient plus facilement aboutir, comme la participation des pays non membres de l'UE dans les décisions de la zone euro, l'amélioration de la compétitivité de l'économie du vieux continent, ou un gain de souveraineté des parlements nationaux.