Ce changement d'horaires affecte depuis ce lundi 4 avril, et pendant trois mois, les trains express régionaux des lignes Lyon/Grenoble, Roanne/Saint-Etienne et Clermont-Ferrand/Saint-Etienne. Dans trois mois, le bassin de Chambéry et la Haute-Savoie seront à leur tour touchés par ces restrictions.
Les régions vivent cette histoire assez mal, car après tout elles financent une grande partie des lignes de TER. La région Auvergne-Rhône-Alpes devrait ainsi exiger une compensation financière de la part de la SNCF.
L'entreprise est dans l'incapacité d'assurer l'intégralité des services et a mis sur pied une rotation des réductions des lignes afin de répartir l'effort. Mais il n'empêche : la SNCF n'a pas su faire face en temps et en heure aux départs en retraite de ses conducteurs de TER. Et la formation d'un conducteur dure une année : il faudra donc prendre son mal en patience sur les quais des gares, mais aussi au sein des conseils régionaux pour que le trafic reprenne son cours normal.
Les régions vivent cette histoire assez mal, car après tout elles financent une grande partie des lignes de TER. La région Auvergne-Rhône-Alpes devrait ainsi exiger une compensation financière de la part de la SNCF.
L'entreprise est dans l'incapacité d'assurer l'intégralité des services et a mis sur pied une rotation des réductions des lignes afin de répartir l'effort. Mais il n'empêche : la SNCF n'a pas su faire face en temps et en heure aux départs en retraite de ses conducteurs de TER. Et la formation d'un conducteur dure une année : il faudra donc prendre son mal en patience sur les quais des gares, mais aussi au sein des conseils régionaux pour que le trafic reprenne son cours normal.