Thales a obtenu ce contrat de la SIMMAD (Structure Intégrée de Maintien en condition opérationnelle des Matériels Aéronautiques du ministère de la défense) : le groupe va déployer, dès le mois de septembre, une logistique pour acheminer et stocker 200 000 références en tout genre — pièces détachées aéronautiques, pneumatiques, composants électroniques, câbles, joints, etc. Thales devra également gérer un stock industriel et traiter les obsolescences.
Un contrat d’importante donc, rendu possible grâce à des algorithmes intelligents et un partenariat avec Kuehne + Nagel pour l’acheminent à proprement parler ; tout cela « permet une parfaite gestion des stocks alignée sur les consommations réelles et une adaptation à l'évolution de l'activité des forces armées françaises qui bénéficieront à tout instant d'un service flexible ».
Mais tout le monde n’est pas forcément de cet avis. Deux concurrents de Thales, Engie Ineo et Sabena Technics, voudraient déposer des recours auprès du Tribunal administratif de Paris. En cause : la SIMMAD a modifié son cahier des charges durant la négociation. Selon la Tribune, ces deux entreprises pourraient réclamer une indemnisation auprès de l’organisme…
Un contrat d’importante donc, rendu possible grâce à des algorithmes intelligents et un partenariat avec Kuehne + Nagel pour l’acheminent à proprement parler ; tout cela « permet une parfaite gestion des stocks alignée sur les consommations réelles et une adaptation à l'évolution de l'activité des forces armées françaises qui bénéficieront à tout instant d'un service flexible ».
Mais tout le monde n’est pas forcément de cet avis. Deux concurrents de Thales, Engie Ineo et Sabena Technics, voudraient déposer des recours auprès du Tribunal administratif de Paris. En cause : la SIMMAD a modifié son cahier des charges durant la négociation. Selon la Tribune, ces deux entreprises pourraient réclamer une indemnisation auprès de l’organisme…