L’avenir de Marc Dufour était pendu à la décision issue de la réunion qui s’est tenue le lundi 12 mai 2014 à Marseille. Le conseil de surveillance de la SNCM, composé des représentants de la société Transdev, principal actionnaire de la SNCM, des représentants des syndicats et des représentants de l’Etat, la France étant également actionnaire minoritaire de la société de transports, n’a finalement pas voté la reconduction du mandat.
C’est un coup dur pour les syndicats des employés qui soutenaient Marc Dufour et l’ancien directoire. Ce dernier tentait depuis plusieurs mois de redresser la société en pleine crise. Mais Transdev désirait renouveler la direction du groupe. Finalement, ce sera la solution optée par le conseil de surveillance.
Les trois représentants de l’Etat, susceptibles de faire basculer le vote en faveur de Marc Dufour, se sont finalement abstenus. Le secrétaire d’Etat eux Transports a toutefois voulu préciser, dans un communiqué, que la décision de s’abstenir a été motivée par la volonté « de mettre un terme à la quasi paralysie qui menaçait la société ».
De son côté, le PDG de Transdev, Jean-Marc Janaillac, a également commenté cette décision : « Nous souhaitons permettre à la SNCM de se construite un avenir qui ne soit ni la liquidation ni la fuite en avant ». Le risque de liquidation serait un coup dur, près de 4 000 personnes vivent directement ou indirectement de cette société de transports qui fait, entre autres, la liaison Marseille-Corse.
Le 28 mai 2014, lors d’une nouvelle réunion du conseil de surveillance, un nouveau directoire sera nommé.
C’est un coup dur pour les syndicats des employés qui soutenaient Marc Dufour et l’ancien directoire. Ce dernier tentait depuis plusieurs mois de redresser la société en pleine crise. Mais Transdev désirait renouveler la direction du groupe. Finalement, ce sera la solution optée par le conseil de surveillance.
Les trois représentants de l’Etat, susceptibles de faire basculer le vote en faveur de Marc Dufour, se sont finalement abstenus. Le secrétaire d’Etat eux Transports a toutefois voulu préciser, dans un communiqué, que la décision de s’abstenir a été motivée par la volonté « de mettre un terme à la quasi paralysie qui menaçait la société ».
De son côté, le PDG de Transdev, Jean-Marc Janaillac, a également commenté cette décision : « Nous souhaitons permettre à la SNCM de se construite un avenir qui ne soit ni la liquidation ni la fuite en avant ». Le risque de liquidation serait un coup dur, près de 4 000 personnes vivent directement ou indirectement de cette société de transports qui fait, entre autres, la liaison Marseille-Corse.
Le 28 mai 2014, lors d’une nouvelle réunion du conseil de surveillance, un nouveau directoire sera nommé.