Si cette somme paraît très élevée en France elle ne l’est pas tant que ça en Suisse où le salaire médian est de 4 845 euros. En fait la demande de la gauche en Suisse concernant ce SMIC, qu’ils aimeraient de 3 240 euros par mois, ne concernent que 9% de la population active du pays, 91% de celle-ci gagnant bien au-dessus de cette somme.
Par exemple, un fonctionnaire touche 7 275 euros par mois. Et malgré cela le chômage dans le pays n’est que de 3%. Mais il faut dire que ces salaires aussi élevés se justifient également par le coût de la vie en Suisse bien plus élevé qu’en France.
C’est justement, comme en France d’ailleurs, pour permettre un niveau de vie correct à ces 9% qui gagnent moins de 3 240 euros par mois que la gauche a décidé de lancer une initiative populaire, une sorte de référendum. Un vote devrait se tenir le 18 mai prochain.
Etonnamment, toutefois, selon les derniers sondages sur le sujet dans le pays, ce référendum est très tendu et pourrait être rejeté pour quelques points. Une information qui devrait faire plaisir à la droite suisse et aux patrons qui se sont mobilisés pour rejeter le SMIC « le plus élevé du monde ». En effet, selon eux, cela pourrait détruire des emplois voire des secteurs entiers.
Par exemple, un fonctionnaire touche 7 275 euros par mois. Et malgré cela le chômage dans le pays n’est que de 3%. Mais il faut dire que ces salaires aussi élevés se justifient également par le coût de la vie en Suisse bien plus élevé qu’en France.
C’est justement, comme en France d’ailleurs, pour permettre un niveau de vie correct à ces 9% qui gagnent moins de 3 240 euros par mois que la gauche a décidé de lancer une initiative populaire, une sorte de référendum. Un vote devrait se tenir le 18 mai prochain.
Etonnamment, toutefois, selon les derniers sondages sur le sujet dans le pays, ce référendum est très tendu et pourrait être rejeté pour quelques points. Une information qui devrait faire plaisir à la droite suisse et aux patrons qui se sont mobilisés pour rejeter le SMIC « le plus élevé du monde ». En effet, selon eux, cela pourrait détruire des emplois voire des secteurs entiers.