Hausse significative du malus
C'est une nouvelle qui pourrait pousser certains automobilistes à acheter une voiture moins polluante que celle qu'ils avaient en tête. Le gouvernement va augmenter le malus pour les véhicules polluants à compter du 1er janvier, à la faveur de la mise en place de nouvelles normes environnementales européennes liées à l'homologation.
Bruno Le Maire, invité de l'émission Grand Jury de RTL, LCI et Le Figaro, a confirmé une information parue dans Les Echos : « Oui nous allons augmenter le malus auto, pour une raison qui est très simple : il y a de nouveaux critères européens, nous tenons compte de ces nouveaux critères ». Et la hausse peut être significative : « Pour un véhicule qui émet 140 grammes de CO2 au kilomètre, on va passer le malus de 690 à 1.901 € », illustre le ministre de l'Économie.
Bruno Le Maire, invité de l'émission Grand Jury de RTL, LCI et Le Figaro, a confirmé une information parue dans Les Echos : « Oui nous allons augmenter le malus auto, pour une raison qui est très simple : il y a de nouveaux critères européens, nous tenons compte de ces nouveaux critères ». Et la hausse peut être significative : « Pour un véhicule qui émet 140 grammes de CO2 au kilomètre, on va passer le malus de 690 à 1.901 € », illustre le ministre de l'Économie.
Dissuader l'achat de véhicules polluants
Le malus se déclenchera à partir d'un seuil qui baissera en janvier prochain. « On va décaler les règles de calcul des émissions : on va passer de 117 grammes de CO2 à 110 grammes de CO2 pour le déclenchement de ce malus », indique Bruno Le Maire.
Pour le locataire de Bercy, c'est une manière de « dissuader les gens d'acheter des véhicules polluants ». Prenant un peu de hauteur, le ministre explique : « On ne peut pas vouloir accélérer la transition énergétique et garder des malus auto qui sont encore relativement modestes sur des véhicules qui émettent beaucoup de CO2 ».
Pour le locataire de Bercy, c'est une manière de « dissuader les gens d'acheter des véhicules polluants ». Prenant un peu de hauteur, le ministre explique : « On ne peut pas vouloir accélérer la transition énergétique et garder des malus auto qui sont encore relativement modestes sur des véhicules qui émettent beaucoup de CO2 ».