(c) Shutterstock/EconomieMatin
Bowder est à la tête d’un fonds d’investissements qui était autrefois l’un des plus importants de Russie, Hermitage Capital Management. Il a pu, durant des années, voir le maître du Kremlin opérer avec son administration se servir généreusement dans les caisses de l’État russe — c’est du moins son accusation, et si celle-ci est avérée, alors Vladimir Poutine est l’homme le plus riche du monde… et de loin.
La fortune du président russe se hisserait ainsi à des hauteurs inconnues : Bowder évoque la somme folle de 200 milliards de dollars, bien plus que l’homme « officiellement » le plus riche de la planète, Bill Gates, qui parait tout petit avec ses 79 milliards en banque.
Depuis son accession au pouvoir en mai 2000 en tant que Président russe (il avait auparavant été Premier ministre d’Eltsine), Vladimir Poutine a pu piocher dans les réserves du pays qui auraient dû servir au financement des infrastructures : écoles, routes, hôpitaux. Cet argent aurait ensuite été investi dans des fonds, des actions, sur des comptes en Suisse et dans l’immobilier.
Poutine et ses proches, installés au pouvoir par leur puissant allié, ont profité de la santé vigoureuse de l’économie russe qui a connu des taux de croissance de 7% en moyenne chaque année, entre 2001 et 2007 (une période durant laquelle le PIB a été multiplié par 6).
La fortune du président russe se hisserait ainsi à des hauteurs inconnues : Bowder évoque la somme folle de 200 milliards de dollars, bien plus que l’homme « officiellement » le plus riche de la planète, Bill Gates, qui parait tout petit avec ses 79 milliards en banque.
Depuis son accession au pouvoir en mai 2000 en tant que Président russe (il avait auparavant été Premier ministre d’Eltsine), Vladimir Poutine a pu piocher dans les réserves du pays qui auraient dû servir au financement des infrastructures : écoles, routes, hôpitaux. Cet argent aurait ensuite été investi dans des fonds, des actions, sur des comptes en Suisse et dans l’immobilier.
Poutine et ses proches, installés au pouvoir par leur puissant allié, ont profité de la santé vigoureuse de l’économie russe qui a connu des taux de croissance de 7% en moyenne chaque année, entre 2001 et 2007 (une période durant laquelle le PIB a été multiplié par 6).