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L’ancien ministre des Finances grec, redevenu homme affranchi d’une solidarité gouvernementale qu’il n’appliquait guère, a depuis son départ multiplié les discours et articles, creusant un peu plus le sillon de l’anti-rigueur dont il s’est fait le chantre. Mais s’il a voté non au premier train de réformes présenté par Alexis Tsipras la semaine dernière, il a finalement voté oui au second volet des réformes pour lesquelles le pays s’est engagé.
Pourtant, ces nouveaux dispositifs ne sont pas moins marqués de l’austérité que Yanis Varoufakis continue de vilipender. Un discours, mais deux standards différents pour l’ex ministre, qui écorne ici une image très populaire en France.
Ce deuxième train de mesures concernait cette fois une réforme de la justice dont l’adoption traînait en longueur depuis des mois, ainsi que la transposition d’une directive européenne sur les banques. Athènes doit se hâter de faire passer ces lois pour faire en sorte de finaliser le troisième plan d’aide au pays : la Grèce en attend 80 milliards d’euros sur trois ans.
Pourtant, ces nouveaux dispositifs ne sont pas moins marqués de l’austérité que Yanis Varoufakis continue de vilipender. Un discours, mais deux standards différents pour l’ex ministre, qui écorne ici une image très populaire en France.
Ce deuxième train de mesures concernait cette fois une réforme de la justice dont l’adoption traînait en longueur depuis des mois, ainsi que la transposition d’une directive européenne sur les banques. Athènes doit se hâter de faire passer ces lois pour faire en sorte de finaliser le troisième plan d’aide au pays : la Grèce en attend 80 milliards d’euros sur trois ans.