PSA espère produire un million de véhicules d'ici 2016.
C'est un travail de négociations de longue haleine qu'est peut être en train de boucler le groupe PSA avec ses organisations syndicales. La majorité des syndicats du groupe devrait signer prochainement le contrat social. Dans les faits, les partenaires sociaux acceptent donc de faire des concessions sur leurs vacances, leur rémunération en contrepartie de quoi le constructeur promet de ne pas délocaliser davantage de sites.
Au cas par cas, FO, SIA, et la CFTC ont accepté le marché. La CFE-CGC devrait se positionner aujourd'hui, sans grande crainte pour le constructeur. A elles quatre, ces organisations représentent les 30 % nécessaires au groupe pour valider l'accord, et les 50 % qui empêchent toute opposition des autres syndicats. A ce sujet, la CGT refuse toujours de signer ce contrat social. Quant à la CFDT, la décision devrait être prise mardi prochain.
Destiné à redorer la compétitivité du groupe, ce contrat social est l'aboutissement de 13 réunions depuis son lancement. Le constructeur espère viser un objectif de 100 millions d'euros d'économies par an. Pour cela, les employés du groupe devront accepter un gel des salaires, moins de souplesse sur les RTT, plus de flexibilité, mais aussi 2 500 départs chez les salariés les plus anciens.
En face PSA devrait assurer la production d'un million de véhicules jusqu'en 2016, un niveau qui n'a jamais été aussi bas mais qui reste supérieur aux objectifs du concurrent principal du groupe, Renault.
Au cas par cas, FO, SIA, et la CFTC ont accepté le marché. La CFE-CGC devrait se positionner aujourd'hui, sans grande crainte pour le constructeur. A elles quatre, ces organisations représentent les 30 % nécessaires au groupe pour valider l'accord, et les 50 % qui empêchent toute opposition des autres syndicats. A ce sujet, la CGT refuse toujours de signer ce contrat social. Quant à la CFDT, la décision devrait être prise mardi prochain.
Destiné à redorer la compétitivité du groupe, ce contrat social est l'aboutissement de 13 réunions depuis son lancement. Le constructeur espère viser un objectif de 100 millions d'euros d'économies par an. Pour cela, les employés du groupe devront accepter un gel des salaires, moins de souplesse sur les RTT, plus de flexibilité, mais aussi 2 500 départs chez les salariés les plus anciens.
En face PSA devrait assurer la production d'un million de véhicules jusqu'en 2016, un niveau qui n'a jamais été aussi bas mais qui reste supérieur aux objectifs du concurrent principal du groupe, Renault.