Gilbert Edelstein, le propriétaire du cirque Pinder, le déplore : en mars et en avril, « notre chiffre d'affaires a baissé de plus de 60% ». C'est lui qui a fait la demande de liquidation judiciaire. Les revenus engrangés ces trois dernières années soulignent les difficultés rencontrées par l'entreprise : de 7,4 millions d'euros, les rentrées se sont rétractées à 6 millions. Parmi les raisons qui expliquent la situation, il y a la crise économique et la peur des attentats bien sûr, mais ce qui a fait le plus mal récemment c'est le passage à la semaine de quatre jours et demi à l'école.
Selon Gilbert Edelstein, en trois ans, « on est passé de 450 000 spectateurs scolaires par an à 100 000 » seulement. Conséquence de ces difficultés financières, le cirque va annuler plusieurs représentations : à Saint-Étienne, Valence et Grenoble, des spectacles n'auront pas lieu. Le patron du cirque Pinder veut tout de même « repartir en tournée » cet été… s'il parvient à maintenir à flot la société. Pour réduire les coûts, il lui faut en effet limiter les spectacles itinérants.
Le cirque Pinder développe également un parc d'attractions, « Pinderland », basé en Seine-et-Marne. Des installations en dur sur lesquelles l'entreprise pourrait s'appuyer pour rebondir. Par ailleurs, avec d'autres propriétaires de cirques, Gilbert Edelstein a écrit une lettre à Emmanuel Macron avec pour objet de demander de l'aide dans cette passe difficile. Les autorités entendront-elles cet appel au secours ?
Selon Gilbert Edelstein, en trois ans, « on est passé de 450 000 spectateurs scolaires par an à 100 000 » seulement. Conséquence de ces difficultés financières, le cirque va annuler plusieurs représentations : à Saint-Étienne, Valence et Grenoble, des spectacles n'auront pas lieu. Le patron du cirque Pinder veut tout de même « repartir en tournée » cet été… s'il parvient à maintenir à flot la société. Pour réduire les coûts, il lui faut en effet limiter les spectacles itinérants.
Le cirque Pinder développe également un parc d'attractions, « Pinderland », basé en Seine-et-Marne. Des installations en dur sur lesquelles l'entreprise pourrait s'appuyer pour rebondir. Par ailleurs, avec d'autres propriétaires de cirques, Gilbert Edelstein a écrit une lettre à Emmanuel Macron avec pour objet de demander de l'aide dans cette passe difficile. Les autorités entendront-elles cet appel au secours ?