Face à la crise du pétrole, les compagnies pétrolières ne peuvent faire autrement qu'annoncer régulièrement des licenciements massifs. Dernière en date : British Petroleum. Ce mardi 12 janvier 2016 le groupe a de nouveau prévu un plan de licenciement de 4 000 personnes selon l'agence de presse américaine Bloomberg.
Ces suppressions, qui devraient être étalées sur deux ans, porteront le nombre d'employés à moins de 20 000 dans le monde dans les domaines de l'exploration et la production. Elles s'ajoutent en outre aux 4 000 suppressions d'emplois déjà réalisées en 2015 portant à 8 000 les emplois supprimés par BP en moins de trois ans.
La crise touche tous les domaines des compagnies pétrolières et BP, qui a dû payer une amende de 57 milliards de dollars dans l'affaire de la marée noire du golfe du Mexique, a réduit ses investissements et prévoit de nombreuses cessions d'actifs. Mais si la situation ne s'améliore pas et que le prix du brut ne remonte pas rapidement, la crise pourrait encore faire des dégâts.
Toutefois, la tension monte au sein de l'OPEP : si l'Arabie Saoudite veut maintenir les prix artificiellement bas, les autres pays producteurs de pétrole sont également fortement touchés par la chute des prix du baril et commencent à remettre en cause la stratégie globale du cartel.
Ces suppressions, qui devraient être étalées sur deux ans, porteront le nombre d'employés à moins de 20 000 dans le monde dans les domaines de l'exploration et la production. Elles s'ajoutent en outre aux 4 000 suppressions d'emplois déjà réalisées en 2015 portant à 8 000 les emplois supprimés par BP en moins de trois ans.
La crise touche tous les domaines des compagnies pétrolières et BP, qui a dû payer une amende de 57 milliards de dollars dans l'affaire de la marée noire du golfe du Mexique, a réduit ses investissements et prévoit de nombreuses cessions d'actifs. Mais si la situation ne s'améliore pas et que le prix du brut ne remonte pas rapidement, la crise pourrait encore faire des dégâts.
Toutefois, la tension monte au sein de l'OPEP : si l'Arabie Saoudite veut maintenir les prix artificiellement bas, les autres pays producteurs de pétrole sont également fortement touchés par la chute des prix du baril et commencent à remettre en cause la stratégie globale du cartel.