« Tout ce que je fais, c’est pour l’emploi et la croissance du pays » a déclaré ce mercredi matin sur France Info Pierre Gattaz. Et contrairement à lui le gouvernement n’a que des « beaux discours » mais il ne prend pas des « mesures en cohérence » avec ces derniers. « Il y a urgence à prendre de vraies mesures », estime-t-il.
Il fait bien entendu référence à la suppression de l’ISF qui est, selon lui, « un poison qui détruit l’entreprise », mais également à la possibilité de licencier sans donner de motif ou encore à la suppression des 35 heures fortement réclamée par le Medef. Car pour lui « les entreprises s’engagent, c’est le gouvernement qui ne s’engage pas ».
Pourtant, le gouvernement a lancé le Pacte de Responsabilité censé débloquer entre 30 et 40 milliards d’euros par an, notamment en baissant les charges pesant sur les entreprises. Pierre Gattaz, sur ce point, n’a d’ailleurs pas l’appui des Français qui estiment à 81% que le Medef ne tient pas ses engagements, notamment la création d’un million d’emplois qui devrait découler justement de la mise en place de ce Pacte de Responsabilité et des contreparties promises par les entreprises.
Il se défend toutefois des accusations à son encontre portées par le gouvernement : « J'ai un discours de vérité, je suis sur les idées. Quand ce n'est pas bien, je le dis ».
Il fait bien entendu référence à la suppression de l’ISF qui est, selon lui, « un poison qui détruit l’entreprise », mais également à la possibilité de licencier sans donner de motif ou encore à la suppression des 35 heures fortement réclamée par le Medef. Car pour lui « les entreprises s’engagent, c’est le gouvernement qui ne s’engage pas ».
Pourtant, le gouvernement a lancé le Pacte de Responsabilité censé débloquer entre 30 et 40 milliards d’euros par an, notamment en baissant les charges pesant sur les entreprises. Pierre Gattaz, sur ce point, n’a d’ailleurs pas l’appui des Français qui estiment à 81% que le Medef ne tient pas ses engagements, notamment la création d’un million d’emplois qui devrait découler justement de la mise en place de ce Pacte de Responsabilité et des contreparties promises par les entreprises.
Il se défend toutefois des accusations à son encontre portées par le gouvernement : « J'ai un discours de vérité, je suis sur les idées. Quand ce n'est pas bien, je le dis ».