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Le départ de Taylor Swift qui a décidé en 2014 de retirer l'intégralité de sa discographie car le site ne la payait pas assez, une décision qui a été suivie par d'autres artistes, aurait-il signé le début de la fin de Spotify ? Pas vraiment. Mais en tout cas ça a fait réfléchir les majors de la musique.
En particulier Universal Music Group qui n'est autre que la plus grosse major du monde. Le groupe voudrait accélérer l'adoption d'abonnements payants qui ne représentent aujourd'hui encore qu'environ un cinquième des utilisateurs du site. Et pour ce faire rien de mieux que de limiter l'écoute gratuite de musique.
"La musique sur demande payée par la publicité ne pourra pas soutenir l'écosystème des artistes ni celui des investisseurs" a déclaré Lucian Grainge, directeur exécutif chez Universal. De quoi peut-être faire changer le business model de Spotify.
Le problème c'est le niveau des Royalties qui sont reversées aux majors et aux artistes. Les publicités, tous sites de streaming musical confondus, ont généra 295 millions de dollars de revenus aux Etats-Unis. Ces sommes restent bien moins élevées que le chiffre d'affaires du secteur musical et les droits d'auteurs reversés aux artistes sont beaucoup moins élevés que lors de l'achat d'un album, qu'il soit sous format physique ou en téléchargement légal.
Pour Jonathan Forster, PDG de Spotify pour le Nord, il n'est pas question de changer de modèle : "Sans le gratuit le payant n'a jamais fonctionné".
En particulier Universal Music Group qui n'est autre que la plus grosse major du monde. Le groupe voudrait accélérer l'adoption d'abonnements payants qui ne représentent aujourd'hui encore qu'environ un cinquième des utilisateurs du site. Et pour ce faire rien de mieux que de limiter l'écoute gratuite de musique.
"La musique sur demande payée par la publicité ne pourra pas soutenir l'écosystème des artistes ni celui des investisseurs" a déclaré Lucian Grainge, directeur exécutif chez Universal. De quoi peut-être faire changer le business model de Spotify.
Le problème c'est le niveau des Royalties qui sont reversées aux majors et aux artistes. Les publicités, tous sites de streaming musical confondus, ont généra 295 millions de dollars de revenus aux Etats-Unis. Ces sommes restent bien moins élevées que le chiffre d'affaires du secteur musical et les droits d'auteurs reversés aux artistes sont beaucoup moins élevés que lors de l'achat d'un album, qu'il soit sous format physique ou en téléchargement légal.
Pour Jonathan Forster, PDG de Spotify pour le Nord, il n'est pas question de changer de modèle : "Sans le gratuit le payant n'a jamais fonctionné".